« Des équipiers qui taperaient plus fort pour le libérer » : ce restaurateur « pour » avoir un SPV
Entrepreneur dans la filière de l’hôtellerie-restauration, David Daguzan convient qu’elle fournit peu de SPV. Logique, au regard des impératifs des métiers ? Peut-être… mais, pour sa part, il croit possible d’en intégrer dans les équipes.
« J’imagine que compter des SPV chez nous, c’est possible ». Inévitablement, c’est leur « libération » qui serait susceptible de troubler un service au restaurant par exemple. Aussi, David Daguzan complète d’abord : « c’est possible… si l’on est tous là ». Toutefois, « s’il y a besoin », cette condition préalable vacille à ses yeux. « La noblesse de la démarche d’un SPV est telle que, s’il était appelé en renfort, les autres membres de l’équipe taperaient un peu plus fort ». Si les contraintes liens aux métiers de l’hôtellerie-restauration sont patentes, l’entrepreneur estime que « ce n’est pas rédhibitoire ».
Il se trouve que pour sa part, il a en outre souhaité que ses personnels soient formés aux premiers secours.
Fabienne Ausserre
f.ausserre@jhm.fr