Vie paroissiale : des signes encourageants pour l’avenir
La paroisse Bienheureux Marcel-Callo a tenu son assemblée générale vendredi 9 juin, en fin d’après-midi au presbytère de Joinville. Elle a donné l’occasion aux participants d’échanger sur la vie paroissiale passée, actuelle et à venir.
Dans son intervention, le père Lucas Ndione a salué l’engagement des personnes présentes. En ajoutant qu’il y voit énormément de motifs d’espérance dans la pastorale paroissiale, le prête a encouragé chacun à les cultiver. Malgré un petit nombre d’acteurs, la paroisse a de la vitalité et trois signes le démontrent : la générosité, l’engagement de chacun, le retour positif après les événements. En témoigne en particulier la satisfaction des personnes endeuillées après les obsèques. Ou encore les demandes insolites et particulières comme par exemple une messe de la nuit de Noël dans le village d’Osne-le-Val où, depuis longtemps, il n’y en avait pas eu. « Ces appels peuvent déranger nos routines, mais ils ont du sens », ont convenu les participants au cours du tour de table.
Chaque service (équipe de coordination, de la pastorale des funérailles, de la vie de célébration et de l’évangélisation) a présenté son bilan d’activités. Ont ensuite été évoqués les événements marquants de ces dernières années : la vente du presbytère rue Diderot et le déménagement au centre Saint-Louis ; l’ordination de quatre diacres dont Jean-Marie (diacre de la paroisse). Y figurent aussi la mise en place de la fête de rentrée des trois paroisses, de la fête de Saint-Joseph, de conférences pendant l’Avent et le Carême, du partage biblique, de prière pour la paix.
Après une pente descendante des revenus paroissiaux depuis 2015, le bilan financier se redresse et le solde redevient bénéficiaire. Dans sa présentation du bilan financier, Jean-Marie Laillet en a détaillé les raisons dont les principales, côté recettes, sont l’augmentation de la générosité des donateurs, la “Boum du curé”, le développement de la fête de Saint-Joseph.
Quant aux dépenses, elles ont été réduites suite à la reprise, par la Ville, du contrat d’électricité de l’église Notre-Dame. « Mais il ne faut pas négliger certaines réalités et tenir compte que beaucoup de nos revenus sont aléatoires », a souligné le diacre.
La réunion s’est achevée par un moment convivial avec le verre de l’amitié.