Vent de jeunesse chez le Langres haltérophilie musculation au championnat Grand Est par équipes

Pour le premier tour du championnat Grand Est, les Langrois vont recevoir, ce samedi 15 octobre, à partir de 17 h, salle Gustave-Blanchard, les clubs alsaciens de Strasbourg, l’ASPTT et le SAK.

La formation lingonne va être privée des services de sa locomotive, Brandon Vautard, retenu à l’Insep, lui qui prépare le tournoi international de Clermont-l’Hérault, qui est qualificatif pour les championnats du monde. Malgré tout, c’est une jeune équipe séduisante et pleine de qualité qui va tout faire afin de bien représenter le club haut-marnais. Cette équipe sera composée d’Alexis Driout, Bastien Moreau, Thomas Ferron, Tom Carcano et Enzo Sterlé. 

Alexis Driout est très attentif aux conseils du staff. Il a bien progressé et pourrait, dans un premier temps, battre ses records personnels. Il est sérieux et bien préparé, son président lui fait entière confiance.

Bastien Moreau, qui suit ses études à Dijon, s’entraînait seul, ce qui n’est pas évident. Le président lingon Jean-Louis Gudin s’est entendu avec son homologue bourguignon. L’affaire est réglée, Bastien pourra désormais faire le maximum avec des athlètes d’un bon niveau qui pourront, le cas échéant, lui prodiguer quelques conseils. Thomas Ferron, qui est sur une bonne dynamique, s’entraîne régulièrement. Les résultats suivent. Le jeune homme est très attentif, persévérant et il fait partie aujourd’hui d’une jeune formation pleine de promesses.

Tom Carcano est très à l’aise sur un plateau. Il avance lui aussi à grands pas, c’est un plaisir de le voir évoluer. Il peut et doit montrer que cette vague de renouveau de l’haltérophilie langroise n’est pas qu’une utopie.

Enzo Sterlé veut progresser. C’est sa première année chez les cadets. Le staff lingon attend de lui quelques perfs et pourquoi pas dès ce samedi. Il est au top dans ses envies, l’haltérophilie est toute sa vie, après ses études bien évidemment.

Jean-Louis Gudin va dans le bon sens, en privilégiant la jeunesse et les athlètes de l’école d’haltérophilie. Certains clubs brillent surtout avec leurs mercenaires, mais combien au final peuvent se targuer d’avoir des jeunes locaux dans leurs rangs ?

De notre correspondant Gérald Llopis