UJB : une assemblée générale pour prendre le pouls
L’assemblée générale de l’Union des jeunes bragards, jeudi 12 octobre, a été l’occasion pour de nombreuses activités regroupées sous la coupe de l’union de faire le point sur leur bonne forme. Toutes ne sont pas aussi dynamiques.
Ce ne sont pas les activités qui manquent à l’Union des jeunes bragards (UJB). L’assemblée générale qui s’est tenue, jeudi 12 octobre, peu après 18 h, en la salle Berlioz, a permis de le constater. Les responsables et quelques adhérents – « trop peu », selon le président de l’association Pascal Petit – s’étaient réunis pour faire un état des lieux de l’asso et des diverses activités qui la composent.
Les sections de l’UJB qui vont bien
L’UJB escrime faisait compte de 75 licenciés, dont six handi-sports l’an passé. De quoi permettre l’optimisme pour l’avenir, d’autant que « plus de 60% de nos licenciés sont des jeunes de moins de 20 ans » rappelait la présidente Marie-Christine Simon dans nos colonnes, le 26 juin dernier. Le judo club UJB affiche aussi de bons résultats, et se satisfait de multiplier les entraînements croisés avec des clubs de Joinville ou Wassy. Le club canin tire aussi un bilan positif, avec un nombre de licenciés stable, entre 40 et 45.
Les sections de l’UJB qui vont moins bien
Toutes les activités de l’union ne sont pas au beau fixe. Du côté de la généalogie, un léger recul du nombre d’adhérents – de 27 à 24 – n’est pas alarmant, mais le vieillissement des membres et la difficulté à recruter des jeunes inquiète. L’harmonie de l’UJB est « en repos » selon son président. « Mais pas en sommeil ! », a-t-il d’emblée ajouté. Résultat, plusieurs manifestations prévues, notamment des commémorations, ont été annulées.
Le yoga du rire est aussi à la peine, avec seulement trois participants réguliers. Laetitia David, l’animatrice, a déploré des difficultés à rebondir depuis la pandémie de Covid-19. Elle hésite, selon ses dires, « à mettre en pause » l’activité. Pascal Petit a promis une solidarité des autres membres de l’UJB, pour éviter que le yoga du rire ne disparaisse.
Dorian Lacour
