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Un projet familial concrétisé

Brigitte et Frédéric Arvois se réjouissent d’entamer une nouvelle aventure.

A la sortie de l’autoroute A31, juste en-dessous du parc des bornes Tesla du Val-de-Meuse, l’hôtel Maas est ouvert depuis début décembre.

Brigitte et Frédéric Arvois, propriétaire du restaurant “Les sources de la Meuse” en contrebas de l’hôtel, sont arrivés à Meuse il y a 22 ans, avec des projets plein la tête pour le bassin de vie de Val-de-Meuse. Ils sont déjà à l’origine de l’installation des bornes de recharge des voitures électriques. Avec leurs filles Angélique et Aurélie, ainsi qu’avec Alex, leur maître d’hôtel, ils se sont engagés sur la construction d’un hôtel à la sortie de l’autoroute. Un projet familial, qui a duré cinq ans (beaucoup de retard à cause de la crise sanitaire), peaufiné dans ses moindres détails.

Travaux réalisés par des entreprises locales

Les travaux ont été entièrement réalisés par des entreprises locales, la production d’eau chaude est solaire, le chauffage et la climatisation par une pompe à chaleur air-air. A l’image du motel américain, le bâtiment est coloré et tout en longueur, il dispose de douze chambres. Les baies vitrées exposées sud-ouest offrent une vue très nature : prairie, champ et forêt. Les vastes chambres ont été pensées comme un logement (insonorisation, wifi…), avec accès PMR (personne à mobilité réduite) et famille nombreuse. Un service de petit-déjeuner est également disponible.

Les cinq associés ne dépendent d’aucune franchise hôtelière, ils ont osé investir pour créer leur propre enseigne. Frédéric Arvois met en avant le clin d’œil du nom de l’établissement, « Maas, en néerlandais, veut dire Meuse. Nous tenions à affirmer notre appartenance à ce milieu rural traversé par la rivière. Une façon aussi de remercier tous nos partenaires, en particulier la commune de Val-de-Meuse qui nous a facilité les choses ».

Plutôt satisfaits de ce premier mois d’ouverture, les époux Arvois ont encore beaucoup de travaux à réaliser. « L’aménagement paysager est en cours, la communication n’est pas encore pleinement aboutie (l’utilisation des réseaux sociaux, des enseignes de voyage web, la campagne de pub locale reste à réaliser). La clientèle ciblée est essentiellement touristique, mais nous souhaitons aussi toucher les curistes de Bourbonne-les-Bains en pleine saison, par exemple », affirme Frédéric Arvois. 

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