Travaux : un point a été fait
Le premier magistrat, Jean-Yves Marin, a fait le point sur les travaux en cours mercredi 26 janvier, lors de la dernière séance du conseil municipal.
A Sainte-Livière, en ce qui concerne la salle polyvalente, le maire a indiqué que « la sous-commission de sécurité a relevé un manque de défense-incendie adapté à la superficie de la salle. Des devis vont être réalisés pour se mettre en conformité ». Au sujet de la mise en accessibilité de la mairie, les finitions sont en cours. « Quelques travaux restent à réaliser au secrétariat », a-t-il précisé. Toujours à Sainte-Livière, la personne chargée du dossier du ralentisseur va être recontactée.
A Eclaron, les jeux ont été réceptionnés dans le cadre des travaux d’aménagement du terrain du groupe scolaire. Les enfants peuvent y accéder. « Le terrain multisport n’est pas encore réceptionné car des travaux de finitions nécessitant un temps sec et doux devront être réalisés. Une réflexion est en cours sur les déjections canines à cet endroit », a expliqué Jean-Yves Marin. Concernant l’élargissement de voirie du côté de l’impasse d’Ambrières, des gabions sont posés à la jonction avec la rue Joliot-Curie. Au niveau du projet de réfection de la rue de la Paix, Enedis a enfoui la ligne moyenne tension dans cette rue. La reprise de l’assainissement est à prévoir à l’issue de ces travaux. « Le géomètre travaille sur ce dossier », a souligné le maire. Le projet de futur lotissement avance. Des fouilles archéologiques sont prévues courant du premier trimestre.
« L’habitat n’est pas envisageable »
Les friches industrielles situées à Eclaron ont enfin été évoquées. Une démolition partielle a eu lieu sur le site de la MAAF. « Des moules de fonderie restent à l’intérieur des bâtiments et bloquent pour l’instant tout projet », a informé le maire. Quant au site Technipal, la dépollution est en cours. « La cessation d’activité suivra. Dans cette zone classée en UY (zone industrielle), l’habitat n’est pas envisageable », a déclaré Jean-Yves Marin. Le conseiller Luc Hispart a demandé si une révision du Plan local d’urbanisme (PLU) serait envisageable. Le maire a précisé que cette procédure est « très complexe et coûteuse ». Une étude pourrait être envisagée lors de l’élaboration d’un PLUi à l’échelle de l’Agglomération. Le conseiller municipal Philippe Guillaume a quant à lui demandé si des entreprises sollicitaient des emplacements pour s’installer sur la commune. Le maire a répondu que « ces sites sont, à ce jour, privés » et que « la commune n’a qu’un rôle consultatif et de facilitateur ».