Succès familial pour les courses de Montier
Hippisme. C’est sous un ciel clément que les courses hippiques se sont déroulées à l’hippodrome de la Crouée de Montier-en-Der, ce dimanche 30 juillet.
Il ne faisait ni trop chaud, ni trop froid. La pluie n’a pas daigné montrer le bout de son nez. Une météo idéale à tous les égards pour que le public se déplace en très grand nombre à l’hippodrome pour assister aux huit courses de trot attelé programmées sur cette deuxième journée de courses. A l’occasion de la Fête de l’hippodrome, avec 2 000 entrées payantes, on atteint un chiffre que la Société des courses n’avait pas connu depuis longtemps.
Mais ce qui est surtout important dans ce nombre d’entrées est qu’en dehors des 800 parieurs habituels, les autres étaient principalement des familles venues passer un après-midi de détente, profitant des nombreuses animations gratuites mis à leur disposition. Pari gagné pour la Société des courses qui met tout en œuvre pour attirer un public familial.
Excellents chiffres
De plus, avec 65 000 € de jeu sur la journée, là aussi, les chiffres sont excellents. Eric Addenet, le président de la Société des courses depuis le début de l’année, se félicite de ces résultats plus qu’encourageants. Il tient cependant à rappeler que cela ne serait pas possible sans l’investissement de la trentaine de bénévoles qui œuvrent afin que le public soit reçu dans les meilleures conditions possibles.
Quant aux drivers, ils étaient aux anges sur une piste en herbe superbe grâce au travail de l’employé, Gérard Remongin et du directeur de de l’hippodrome, Thierry Bertrand. «Un vrai billard pour une superbe journée», sourit Eric Addenet.
De notre correspondante Corinne Loccidal
Une belle brochette de journalistes hippiques
Pas moins de quatre journalistes ou anciens journalistes hippiques étaient présents, ce dimanche à Montier-en-Der.
Sur la photo, de gauche à droite, Pierre-Joseph Goetz, commentateur et présentateur pour Equidia depuis 30 ans et commentateur sur les hippodromes de la région et en Normandie ; Eric Addenet, nouveau président de la Société des courses de Montier-en-Der ; Robert Richy, ancien commentateur sur tous les hippodromes de l’Est, journaliste pour le Républicain Lorrain, Les Dernières nouvelles d’Alsace et un journal luxembourgeois durant 30 ans ; le local, François Letourneur, qui écrit dans Le Journal de la Haute-Marne depuis 46 ans et qui s’occupe de sa page hippique depuis 25 ans ; Fabrice Binick, journaliste hippique pour Paris Turf et l’Union depuis 17 ans.
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Lors de la sixième course, Prix François Buron, Idole du Moncel, drivée par Matthieu Verva a largement pris de l’avance sur les autres chevaux. -
René Grolier, un fidèle parmi les fidèles de la Société des courses, a animé l’après-midi, entre chaque rencontre, avec son accordéon. -
Pierre-Joseph Goetz est allé à la rencontre de chaque équipage lors des passages au rond de présentation afin de demander le ressenti sur la course à venir et ainsi pronostiquer un résultat. -
Quatre journalistes hippiques accompagnent sur la photo le président de la Société des courses. -
René Grolier aime mettre en avant la nouvelle génération. Son élève, Julian Macambault, 9 ans et deux ans de pratique, a interprété quatre morceaux dont Le petit vin blanc ou le Kazatchok. -
May est régulièrement présente lors des courses hippiques afin de maquiller ou “tatouer” les enfants qui l’appellent Paillette, comme ici Louna. -
Pas moins de 65 000 € de paris, ça fait beaucoup de parieurs. -
Mya, montée sur Gommette et dirigée par Lisa, a pu comme de nombreux autres enfants profiter des balades à poney proposées gratuitement par le Jardin d’Eiden. -
Le grand prix du Journal de la Haute-Marne s’est couru ce dimanche. François Letourneur, spécialiste de la page hippisme et Louis Vanthournout, journaliste à Saint-Dizier on remis le prix au vainqueur, Pierrot Beasse, qui a drivé Hurricane Dream. -
Au moment des courses, beaucoup de spectateurs s’approchent de la lice pour encourager avec entrain leur favori. -
Lors de la Fête de l’hippodrome, en dehors des habituelles structures gonflables, petits et grands peuvent également essayer le taureau mécanique comme ici Ilhan, 3 ans et fier de tenir bon.
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