Régis veille sur la déchetterie fixe
L’ÉCHO DU BOLOGNAIS
Depuis que la déchetterie fixe existe, soit quelque seize ans, Régis est en poste. Cela coïncide à son embauche par le Syndicat départemental d’énergie et de déchets 52. Il va vers les personnes, avec gentillesse. Il les guide car certaines ne sont pas sûres de l’endroit où elles doivent déposer leurs déchets. Or, cette déchetterie est beaucoup utilisée. Régis veille ainsi sur la déchetterie, conservant en attitude avenante qui fait plaisir aux dépositaires.
Plus précisément, elles ne dansent plus ! L’association, Les Cigales, composée d’adhérents danseurs, n’a pratiquement plus d’activité depuis le début de la pandémie, liée, en grande partie, aux conditions difficiles du respect du contrôle sanitaire… mais pas que ! Celui qui fut leur professeur de danse durant de très nombreuses années, a pris sa retraite. Il y a eu un timide retour avec un nouveau professeur de danse mais cela n’a pas duré. Reste à espérer que l’allègement du protocole sanitaire et la présence d’un professeur “durable” se conjuguent pour que les cigales recommencent à chanter – pardon ! – à danser.
Lors de la reprise de la saison 2021-2022, on pouvait constater une présence moins importante des adhérents du Cercle de l’amitié aux après-midi détente du mercredi. A l’issue des fêtes de fin d’année, on a retrouvé les mêmes fidèles, quinze à 20 personnes, se retrouvant autour des jeux de société. Pour plusieurs d’entre elles, ces instants brisent leur solitude. Bien entendu, le pass sanitaire est demandé, de même que pour les cours de danse en ligne qui ont également été repris.
Après les fêtes de fin d’année, les athlètes de l’Association sportive de Bologne ont repris l’entraînement et les compétitions, ce qui fut le cas très récemment au niveau départemental. Bien évidemment, cela s’accompagne de toutes les mesures nécessaires pour le respect du protocole sanitaire. Pour exemple, tous les compétiteurs ont le masque au début et à la fin de la course. Une course, ce n’est pas seulement les jambes, c’est aussi la respiration et avoir un masque sur le nez ! Comme quoi, les variants Delda et Omicron n’ont pas tout altéré. Les activités se poursuivent pour l’école d’athlétisme de l’association qui a également rouvert ses portes.
Présidente de l’association de gymnastique volontaire de Bologne, Brigitte Laffert a indiqué qu’après les fêtes de fin d’année, les cours ont normalement repris. « On fait attention, voilà tout », a-t-elle commenté. L’effectif n’étant pas très important, il est assez aisé, pour ces adeptes de la gymnastique volontaire, de respecter le protocole sanitaire, notamment les gestes barrières.