Quand souhaiter la bonne année est un bon prétexte pour partager ses idées
Depuis le 1er janvier à minuit, on ne compte plus les fois où on a dit « bonne année ». Mails, publications sur les réseaux sociaux, cartes de vœux, tout est bon pour envoyer ses ondes positives à autrui. Mais aussi pour faire passer quelques messages…
« Cinq, quatre, trois, deux, un… Bonne année !!! » Tout d’abord, clamés à l’unisson avec ses amis, sa famille ou des inconnus présents au réveillon de la Saint-Sylvestre, les vœux sont depuis adressés à n’importe qui se dressant sur sa route : ses collègues, le commerçant du coin, un client…
Si le fond reste le même, la forme, elle, varie en fonction de son expéditeur. Tandis que certains se contenteront de le dire de vive voix, d’autres s’exprimeront sur les réseaux sociaux.
JO et réactions aux propos de Jean-Marc Fèvre
Il y a aussi ceux pour qui le dire est un bon prétexte pour faire passer quelques messages. À l’instar de la Mairie de Saint-Dizier, au travers d’affiches placardées dans les rues, illustrées par un coureur tenant une torche. Comprenez ici un clin d’œil au passage, cette année en ville, de la flamme olympique. Ou encore de cette lectrice n’ayant pas vraiment digéré les propos sur les personnes âgées de Jean-Marc Fèvre, Jean-Marc Fèvre, président du Smictom Nord Haute-Marne, lors du dernier comité syndical. « Votre réflexion est très infamante et irrespectueuse. » Pour les retardataires, pas de souci, la coutume veut que cela dure jusqu’au 31 janvier !
Dominique Lemoine