Noces d’or pour Joseph et Christiane Savet

Dimanche 10 septembre, le couple Savet, bien connu au village, fêtait ses 50 ans de vie commune à la salle des fêtes : leurs noces d’or. Pour l’occasion, les époux avaient invité famille et amis, qui sont venus soutenir les amoureux d’une vie bien remplie.

En 1972, c’est à Coublanc, dans un bal monté de l’époque, que Joseph dit “Jojo”, de retour de permission de son service militaire en Allemagne, a fait la connaissance de Christiane Thirion alors auxiliaire puéricultrice à Chaumont. Ce fut le coup de foudre qui s’est concrétisé, un an plus tard, par un mariage à Heuilley-le-Grand, le 1^er septembre 1973.

Après un premier logement sur Chaumont, Joseph, alors employé agricole chez Martin à Frettes, en Haute-Saône, et Christiane ont trouvé un terrain sur Verbiesles et ont construit un joli pavillon rue du Vieux-Val qu’ils ont investi en août 1976.

De leur union sont nés successivement Laurent en 1974, Emmanuel en 1976, Estelle en 1981 et Muriel en 1988 qui à leur tour, bien plus tard, ont agrandi la famille de dix petits-enfants. Christiane s’est mise alors en disponibilité pour élever ses enfants et Joseph, après une carrière bien remplie, a fait valoir ses droits à la retraite en 2008.

Des voyages à travers le monde, Canada, Italie, Tyrol, Andorre et de nombreux coins de France ont fait le bonheur du couple sans compter les nombreuses réunions de cette famille très unie.

Joseph et Christiane restent très actifs en s’impliquant dans le village comme conseiller municipal durant trois années, aux pompiers et avec son épouse au comité des fêtes et la paroisse.

Pour ce dimanche de fête, l’ambiance était très festive, les 70 convives ont apprécié un menu traiteur et la diffusion de cette vie amoureuse sur un écran géant. Devant leur pavillon, pour le clin d’œil, tout un tas d’objets de récupération ont été déposés par des copains farceurs attestant l’habileté de “Jojo”, fin bricoleur, à transformer ou réparer ce qui peut l’être.

“Jojo” et Christiane sont ceux sur qui l’on peut compter et la commune leur doit beaucoup.