Nécrologie : Noël Passemard

Noël Passemard est né en janvier 1954 à Dampierre, dans l’Aube, dans le foyer d’Irène et Julien.

Quatrième d’une grande fratrie, il a travaillé très jeune chez son oncle comme ouvrier agricole et obtenu son CAP de maçon-carreleur.

En 1974, lors d’une course de vachettes, il a rencontré Claudette qu’il a épousée en 1976 à Saint-Vrain (Marne). La famille s’est agrandie avec l’arrivée de Jérôme en 1977 et de Ludovic en 1981.

A 25 ans, après plusieurs emplois et une remise à niveau, Noël a intégré l’école de gendarmerie.

Sa persévérance et son travail acharné ont offert une vie meilleure à sa famille. Il a enchaîné les mutations à Neuilly-Saint-Front, La Bourboule, en Nouvelle-Calédonie, suivies d’un départ en famille pour trois ans en Guyane.

Au retour, muté à Auberive, il a repris des études pour devenir officier de police judiciaire. Noël a toujours eu cette rage de réussir. Nommé chef de brigade à Colombey-les-Deux-Eglises, sa carrière a continué et il a terminé adjudant-chef à Clefmont.

En retraite, Noël et Claudette sont retournés s’installer dans la maison construite par Noël à Saint-Vrain. Il a rénové une maison à Dardenay dans l’ancienne boulangerie, non loin du port d’attache de son bateau. Noël adorait naviguer sur les canaux français, jardiner, pêcher, la nature, la neige, le bricolage, la danse, recevoir et cuisiner.

Ses fils se sont mariés et la famille s’est agrandie avec quatre charmants petits-enfants qui faisait son bonheur et avec lesquels il partagait ses passions, Chloé, Emma, Eléna et Nolan. Un vrai “papy gâteau”.

En 2016, pour leurs 40 ans de mariage, Noël a renouvelé ses vœux avec Cloclo ; une journée mémorable et magique qui laissera aux invités le souvenir d’une belle union. Cette vie merveilleuse a basculé d’un seul coup. Malgré son combat acharné de six mois et le déploiement des équipes médicales, la maladie a emporté Noël, le 14 mars. Une grande tristesse pour sa famille et ses amis. Ses obsèques ont été célébrées le 20 mars.

A sa famille, nous présentons nos condoléances.