Nécrologie : Jean-Marie Hugo
Jean-Marie Hugo, qui demeurait avenue Général-de-Gaulle, s’est éteint, samedi 13 mai, à l’âge de 68 ans, après une courte hospitalisation au centre Leclerc à Dijon.
Né le 25 décembre 1954, à Langres, au foyer de Fernand et Jeanne Hugo de Bourbonne, il était le second d’une fratrie de trois enfants. Il a effectué son service militaire au 8e Régiment d’infanterie à Landau, en Allemagne.
Le 23 septembre 1978, il a épousé, dans la cité thermale, Monique Valentin. De leur union, sont nés trois enfants : Stéphanie demeurant à Frotey-lès-Vesoul (Haute-Saône) ; Sandrine résidant en Suisse, et Romain domicilié à Chaumont, lui donnant le bonheur de choyer de tout de son cœur trois petits-enfants : Yanis, Antonin et Lisa.
Après sa scolarité à Bourbonne, Jean-Marie Hugo a suivi ses études au lycée Ashton à Chaumont où il a obtenu son CAP de menuisier.
A l’âge de 18 ans, il a intégré les Etablissements Ragoubert de Bourbonne, spécialiste de fabrication de mobilier de grande réputation, et y est resté jusqu’en 1981. Puis, pendant 17 années, il a changé d’orientation, exerçant au “Palais du fromage”, à l’unité de Guyonvelle, effectuant de longues tournées quotidiennes en Haute-Marne et dans les Vosges, où son amabilité, son sens du commerce et son dévouement étaient très appréciés de la clientèle qu’il avait su fidéliser. S’adaptant à toutes les situations, Jean-Marie Hugo a mis ses nombreuses capacités au service de l’association Multiservices de Soyers pendant une dizaine d’années. A la cessation de cette dernière, il a aussitôt été repris par l’entreprise Au Logis Net, de Dominique Bourgin, peintre, et ce pendant trois ans.
Jean-Marie Hugo laisse le souvenir d’une personne calme, d’une gentillesse, d’une générosité et d’une serviabilité remarquables. Il était passionné par le jardinage et les travaux de bricolage.
Très attaché aux valeurs familiales, il avait rendu de multiples services à ses enfants dans l’aménagement de leurs demeures.
Ses obsèques ont été célébrées ce mercredi 17 mai, à l’église Notre-Dame, qui était comble, preuve de l’estime générale engendrée au cours de ses multiples fonctions.
A sa famille, nous présentons nos condoléances.