Commentaires (0)
Vous devez être connecté à votre compte jhm pour pouvoir commenter cet article.

Miroiterie chaumontaise : la belle aventure de Nicolas Masson

Nicolas Masson propose la découpe de vitrage sur mesure, pour l’intérieur ou l’extérieur.

Nicolas Masson vient de lancer son entreprise artisanale. La Miroiterie chaumontaise répond à un service devenu difficile à trouver : le remplacement de vitres cassées, la réparation de marquises et la découpe de verre sur mesure.

Une vitre brisée ? Nicolas Masson peut vous la réparer ! À 40 ans, le Chaumontais s’est lancé à son compte, en tant qu’artisan. Début mars 2023, il a créé sa SAS : la Miroiterie chaumontaise. Il assure le remplacement du simple ou du double vitrage en cas de bris de glace, pour les fenêtres et portes extérieures ou intérieures.

Nicolas Masson se charge aussi du verre trempé, des vitres plates pour les inserts de cheminées, de la rénovation de marquises – complète ou partielle – et peut aussi découper du vitrage sur mesure pour les projets personnalisés. Tout cela, aussi bien pour du verre clair que du verre feuilleté ou trempé (pour les vitrines).

Aimant les projets originaux laissant place à la créativité, Nicolas Masson propose aussi la découpe de crédences, pour la cuisine, avec des verres colorés du plus bel effet. Une multitude de possibilités s’offrent à ceux qui ont des idées.

Miroiterie chaumontaise
La Miroiterie chaumontaise, une SAS créée en mars 2023.

L’amour tu travail bien fait à la miroiterie chaumontaise

Pour certains projets, Nicolas Masson s’attache les services de son beau-frère, métallier-soudeur. Egalement installé à Chaumont, Thomas Rouyer, alias « Tête d’enclume » – du nom de son autoentreprise -, conçoit de petits meubles sur mesure, des marquises, garde-corps. Un créatif, qui laisse place à son entrain tout en respectant les contraintes imposées pour les commandes.

Nicolas Masson s’est lancé dans son entreprise, motivé par l’amour du travail bien fait et l’envie de dépanner ses clients aussi vite que possible. Car qui a déjà connu un bris de glace sait combien il peut être compliqué de trouver une personne en mesure d’intervenir rapidement. Le miroitier répond à un besoin criant : rendre service dans l’urgence et dépanner. « Il faut compter le délai pour commander le vitrage nécessaire. Disons qu’en quinze jours ça peut être bon », détaille l’artisan qui peut, en cas de besoin, proposer une solution provisoire fiable avec l’étanchéité au froid et à la pluie.

Reconversion

Pour Nicolas Masson, cette vocation de travailler le verre a été découverte sur le tard. Après dix années passées dans un hypermarché à travailler en rayons, il s’est initié  métier de miroitier, sur le tas, dans une entreprise spécialisée. Une vraie passion pour lui et un savoir-faire peaufiné un peu plus de cinq ans. Fort de cette expérience, il a entrepris de voler de ses propres ailes avec la Miroiterie chaumontaise.

Nicolas Masson est animé par le défi de ce métier artisanal également créatif : « On peut faire des découpes spéciales, avec des formes », montre-t-il en réalisant son tracé. Sur sa page Facebook, on découvre des exemples de ses premières réalisations et de son champ d’action. « Je me déplace sur toute la Haute-Marne », conclut-il.

S. C. S.

Lire aussi : Une cinquantaine d’artisans mobilisés contre la hausse des prix.

Sur le même sujet...

Chaumont, Langres, Saint-Dizier
Abbaye de Jovilliers : faire fi des éléments
Artisanat

Terroir. Dimanche 21 avril, 42 exposants étaient répartis à l’abbaye de Jovilliers dans la cour des communs devant les tours, dans le cloître, dans les salles du rez-de-chaussée et à(...)

Fayl-Billot
Une mutuelle communale pour les habitants
Artisanat

Samedi 20 avril, une réunion d’information sur la mise en place d’une mutuelle communale a réuni un large public. Parce qu’il est conseillé de souscrire à une assurance complémentaire santé,(...)

46,73
Saint-Dizier
46,73
Artisanat

LE CHIFFRE DE LA SEMAINE C’est, en moyenne, la durée en jours que met la Ville de Saint-Dizier à payer ses factures, selon les données du ministère de l’Économie, rendues(...)