Les vœux de la rédaction
TRADITION. L’année 2023 débute ce dimanche. À la rédaction bragarde, on a décidé de partager nos vœux avec les lecteurs. Petit pêle-mêle de ce que l’équipe souhaite pour Saint-Dizier. Quant à les voir se réaliser, on peut toujours rêver.
Le 1er janvier, c’est déjà demain. Instant privilégié pour prendre de bonnes résolutions qui sont souvent mises à mal dès le 2 janvier avant de passer aux oubliettes le 3, c’est aussi l’occasion de souhaiter ses bons vœux. « Bonne année, bonne santé, plein de bonnes choses pour cette année. » Un grand classique. C’est aussi l’occasion idéale de faire ses vœux pour les 365 prochains jours. Pourquoi s’en priver ?
La rédaction bragarde vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2023 et en profite pour vous partager ses différents souhaits pour la ville.
STATIONNEMENT. Que les trottoirs soient rendus aux piétons. Pouvoir marcher tranquillement sur les trottoirs, sans devoir slalomer entre ces voitures stationnées illégalement depuis des années sans être verbalisées. Et sans être obligé de mettre le pied sur la chaussée et manquer de se faire faucher par les voitures. Oui, on aimerait ne pas risquer sa vie rues des Montants ou du Lièvre, pour ne citer qu’elles. Quelle joie de pouvoir constater des emplacements matérialisés par du marquage au sol. Simple application de la loi quoi.
PISTES CYCLABLES. Tout cycliste bragard qui utilise au quotidien les pistes cyclables pourra le déplorer : si le réseau est dense, les raccords entre les liaisons, le balisage au sol et les indications sont à revoir. Alors gageons pour 2023 qu’il ne faudra pas attendre – et malheureusement on craint le contraire – différentes études et la naissance du Plan Vélo (ou schéma directeur de la mobilité douce) pour réaliser des ajustements pourtant urgents.
MUSIQUE. Qu’une petite salle de concert ouvre. Enfin, un petit lieu sans gradins où l’on peut danser pendant les concerts, suivre le rythme donné par les artistes et se défouler avec la masse. Car, excepté les soirées club des Fuseaux, il y en a marre d’assister à un concert aux Fuseaux ou au théâtre à l’italienne, où l’on doit rester assis, sans rien partager avec les artistes ou le public. La musique, ça se vit !
RESTAURATION. Qu’une friterie s’installe en ville. Des pommes de terre provenant directement des champs, épluchées, coupées à la machine, plongées dans un bain d’huile ou de gras de bœuf, agrémentées de sel voire de vinaigre… Certains diront qu’il s’agit encore d’un fast-food, mais l’art de la frite, c’est autre chose. Et c’est certain, le business fonctionnerait. Avis aux amateurs.
FOOTBALL. Qu’un club de football de l’Agglomération – qu’importe si c’est l’Espérance, le SMC, les Cheminots, Eclaron, ou n’importe quel autre – refasse la même épopée que celle des Marnavalais cette année en Coupe de France. Cette compétition et ce sport ont le don de rassembler le temps d’un instant tout un quartier, toute une ville – comme on l’a vu au stade Jacquin en novembre – derrière une bande de copains, des citoyens comme vous et nous, que l’on peut croiser à tout moment. Le genre d’événement génial à prendre en photo et qui laisse toujours de bons souvenirs, qu’importe le résultat final.
MUSICAL’ÉTÉ. Que le festival bragard mette les petits plats dans les grands pour son édition 2023. Partons de ce principe : six artistes ou groupes seront au rendez-vous, dans une ambiance familiale. Mais pourquoi ne pas proposer des soirées thématiques ? Scène urbaine le premier soir, avec par exemple Prince Waly et Lujipeka. Place à la pop le deuxième soir avec, imaginons, Adé – chanteuse de feu Thérapie Taxi – et Juliette Armanet. Enfin, pour conclure, de l’éclectisme avec le reggaeman Tiken Jah Fakoly et le groupe électro Deluxe. De quoi satisfaire tous les publics.
La rédaction