Les bons vœux des Langrois (2/3)
Ce 3 janvier, après que des habitants tout court aient formé leurs vœux pour 2022, et avant que les élus ne ferment le bal demain mardi 4 janvier, place à quelques responsables associatifs, qui font part de leurs souhaits les plus chers pour leur structure, mais aussi pour Langres et le territoire.
Après les habitants tout court de Langres, voici donc le 2e volet de vœux de Langrois.
Philippe Chanclu, président de l’association Mélanges improbables
« Mon souhait est évidemment que l’on sorte enfin de cette pandémie, de ce Covid qui n’en finit plus… Qu’on puisse tous se retrouver, profiter de la bonne musique et des concerts et boire un coup. Je souhaite aussi que tout le monde se porte bien, et que le spectacle vivant, mais pas que lui, puisse retrouver ses droits ».
David Horiot, directeur de la structure d’insertion Défis 52
« J’ai trois souhaits pour 2022. Le premier, c’est le développement de l’activité, en particulier avec le garage solidaire à mettre en place, le zéro phyto, l’atelier mécanique et le développement d’une activité de prestation de nettoyage . Pour nous, 2022 doit être une année de référence pour les dix prochains. Le deuxième, c’est le maintien de la structure. Et, enfin, le troisième est de toujours mieux accompagner les personnes ».
Edouard, curé de Langres
« On souhaite que la maladie qui nous embête disparaisse, et le meilleur pour tout le monde, de fait. Le retour de la chaleur humaine serait aussi bienvenu. Même chez nous, à l’église, les règles de distanciation compliquent nos offices. Eh puis pourvu qu’on se voie pour de bon de nouveau. Comme disait Lévinas, le visage permet le mieux de nous découvrir. Au plan local, je souhaiterais que souhaiterais que la question de l’hôpital trouve une solution. Globalement, j’aspire à ce que les gens se motivent plus, s’engagent davantage et, éventuellement, qu’ils passent plus souvent à la messe »
Jean-Louis Gudin, haltérophile
« Je souhaite qu’on ne soit plus emm… avec le virus, qu’on ait de bons résultats et, surtout, qu’on ait une nouvelle salle. Il semble que ça bouge beaucoup et c’est de bon augure. Auquel cas ça bougerait plus en peu de temps quand, il y a quinze ans, les étagères de mon garage pliaient sous les dossiers qui n’aboutissaient pas. Je voudrais créer un deuxième emploi au club -je l’occupe aujourd’hui à titre bénévole. Au plan local, j’aspire à ce que tout Langres soit piéton. Globalement, je voudrais que tout le monde retrouve le sourire »