La thérapie des sons s’invite à la Cave à Bernard

En prélude à la Nuit de la lecture, samedi 22 janvier, la médiathèque Bernard-Dimey proposait, sur inscription, une séance de sonothérapie. Malgré un temps neigeux, et quelques désistements, une douzaine de personnes se sont retrouvées en séance de groupe pour découvrir une séance de sonothérapie pratiquée par Céline Pérugorria. Céline Pérugorria exerce sur Montbéliard, dans le Doubs, comme relaxologue et sonothérapeute.

La sonothérapeute utilise plusieurs instruments qui émettent des sons et des vibrations plus ou moins puissants. « J’utilise des bols tibétains, des diapasons, des carillons, un gong, un piano numérique, mais aussi ma voix. Lors d’une séance de sonothérapie, je répartis ces instruments autour de la personne ou les pose directement sur son corps », explique Céline Pérugorria. Les instruments utilisés sont particulièrement riches en harmoniques. Leurs sons et vibrations agissent sur différentes ondes qui parcourent le corps. Certaines vont permettre de travailler sur le corps physique, d’autres sur le système nerveux, d’autres encore sur les émotions.

Une séance individuelle dure généralement un peu plus d’une heure.

Elle débute par un temps d’échange d’environ 15 mn. Durant le soin, la personne est allongée sur le dos ou sur le ventre. Le soin dure environ 45 mn. Les instruments sont posés sur le corps ou répartis tout autour. « Il existe plusieurs protocoles en fonction des problématiques de la personne. » Pour cette première, à la médiathèque Bernard-Dimey, plus précisément à la Cave à Bernard, c’est une séance de sonothérapie en groupe qui était proposée. « En groupe, les instruments ne sont pas posés sur le corps. Il s’agit davantage d’un concert vibratoire dans un objectif de mieux-être et de déconnexion », précise Céline Pérugorria.

La sonothérapie s’adresse à tout le monde et s’adapte à tous types de conditions physiques, psychiques et émotionnelles. L’intensité vibratoire des instruments est adaptée au profil de la personne. Les personnes présentent ont apprécié cette première séance dans l’ambiance feutrée de la Cave à Bernard.