La présidence des Marcheurs de l’Apance reste à pourvoir
Ce fut encore une belle mobilisation vendredi 3 février, au casino à l’occasion de l’assemblée générale des Marcheurs de l’Apance.
« Après les mesures draconiennes imposées par le gouvernement », comme l’a souligné la présidente, Annie des Boscs, la saison qui vient de s’écouler a permis une reprise des activités à la satisfaction générale.
Sachant qu’elle présidait sa dernière séance, ayant décidé de transmettre le relais, elle a tenu à remercier la Fédération française de randonnée des sports populaires, l’office de tourisme de Bourbonne, la municipalité pour l’apport important de subventions, ses collègues du bureau avec Lina et Jacky Hiver, Bernard Fremiot, mettant en exergue pour chacun leur qualité principale.
Le bilan de la saison, en grande partie évoqué lors de le la réunion de novembre à l’occasion de l’établissement du calendrier des marches pour 2023, a permis de rappeler que les marches douces du mardi avaient attiré 189 marcheurs, celles mensuelles, 288, avec une moyenne de neuf à douze adeptes pour celles avec François Lachaise. Ce fut le retour de la marche populaire du 1er mai attirant près de 300 adeptes, sans oublier les marches bleues et roses dans le cadre de la sensibilisation au dépistage contre le cancer.
La formation des animateurs s’avère une nécessité, la présidente annonçant notamment la prise en charge des frais de déplacement. Dans le cadre du balisage, Jacky Hiver a fait le point sur les réalisations avec 32 km du GR de Serqueux, 6 km pour le Râteau, 8 km à la Charmoise, 7 km à la Réserve, 11 km aux Epinées. Au niveau du comité directeur, Viviane Fleck, Jacky Hiver et François Lachaise ont reçu l’approbation générale pour leur réélection. Joachim Ozdoba a fait son entrée, ayant obtenu la confiance générale pour le poste de trésorier à la place de Bernard Frémiot, qui ne souhaitait pas repartir. Depuis la dernière assemblée, la présidente Annie des Boscs avait bien stipulé son désir de ne plus assumer la présidence qu’elle exerçait depuis 2015. Malgré maints appels, personne ne s’est manifesté. Elle a lancé une sorte d’ultimatum en laissant quinze jours de réflexion.