La discothèque idéale de Jean-Pierre Duvaux
est un tantinet psychédélique.
Pink Floyd – The Wall (1970) . J’emporterais la version de Roger Waters que j’ai vu en concert et qui parle du mur séparant l’artiste de ses fans et l’aliénation de l’individu par la société. Un concept époustouflant… Une claque.
Keith Jarrett – The Köln Concert (1975). Celui-ci qui semblait de très mauvaise humeur, et ayant failli refuser de jouer, a entièrement improvisé son concert en jouant autour d’un thème composé de quatre notes.
Lou Reed – Berlin (1973). Cet album n’est pas révolutionnaire en soi mais il y a une atmosphère particulière qui s’en dégage. Ne serait-ce que par les thèmes abordés (la violence conjugale, la prostitution, la maltraitance des enfants, le suicide…)
Carl Orff – Carmina Burana (1937). J’aime l’originalité et la force de l’oeuvre s’inspirant de thèmes moyenâgeux même si certains ont une vision toute particulière et ont contribué à alimenter un certain malaise.
Dionysos – La mécanique du cœur (2007). J’ai découvert la magie d’un univers particulier digne d’un Tim Burton. On se laisse aller dans ce conte fantastique et avec une superbe chanson en apothéose.