Judo : des Samouraïs à Chalindrey pour la finale

Le gymnase intercommunal Henri-Vincenot de la rue des Adieux à Chalindrey a accueilli, samedi 11 juin dans l’après-midi, la finale des samouraïs organisée par le club de la commune et le comité départemental du judo.

Une quinzaine de bénévoles locaux a aidé à l’organisation de cette manifestation sportive. Elle avait pour but d’évaluer les jeunes filles et garçons nés en 2012 et 2013 (catégorie poussins). Trois critères étaient pris en compte pour la notation : la culture en matière de judo, les techniques à démontrer et les combats. De jeunes arbitres et des commissaires sportifs, enseignants des clubs de toute la Haute-Marne étaient présents pour superviser les huit surfaces installées dans le gymnase.

Sur les 19 clubs que compte le département, 18 ont répondu présent. On pouvait dénombrer presqu’autant de spectateurs que de judokas dans la salle.

Cette finale clôturait la saison des compétitions organisées par le comité départemental. Deux tours avaient eu lieu précédemment dans les parties nord et sud du département, en novembre 2021 et en mars dernier. Pour la partie sud, le 1er tour s’était déroulé à Bourbonne-les-Bains et le 2e à Chalindrey, avec, pour ces deux premières rencontres, des judokas d’âges plus variés que pour la finale (nés entre 2012 et 2015).

Le but de ces rassemblements étaient de faire s’exprimer les jeunes pour qu’ils montrent ce qu’ils ont appris pendant l’année. Les combats duraient 1 minute 30 ou s’arrêtaient dès que deux ippons étaient réussis. Ce sont 55 samouraïs d’or, 13 d’argent, 9 de bronze et un petit samouraï qui ont été remis aux 78 jeunes présents, ravis de repartir avec leur tout nouveau diplôme. Les cinq judokas du CSC présents finissent en or.

De l’avis des dirigeants locaux, c’est plutôt une bonne année pour les jeunes judokas qui étaient très motivés après les annulations de compétitions liées à la crise sanitaire. Cette rencontre clôture les compétitions de la saison 2021-2022 pour le comité départemental du judo.

De notre correspondant Didier Hébert