Jocelyne Leblanc-Gabriel aux législatives : un suppléant, un local, un programme
Législatives. La candidate divers-droite dans la première circonscription a présenté vendredi 6 mai à Chaumont son suppléant : le Dr Bahi Zamouri, élu de Val-de-Meuse et du Grand Langres.
Triple motif de communication pour Jocelyne Leblanc-Gabriel vendredi soir. La candidate aux législatives inaugurait son local de campagne situé 2, rue Jules Tréfousse à Chaumont qui sera ouvert tous les jours par Françoise Beldico avec des permanences le samedi matin de Jocelyne Leblanc-Gabriel. Elle a aussi présenté son suppléant. Il s’agit du Dr Bahi Zamouri, médecin généraliste, exerçant depuis une douzaine d’années à Montigny-le-Roi. « Passionné par la politique », il est élu (d’opposition à Val-de-Meuse) et délégué communautaire du Grand Langres. Mais il est aussi remplaçant d’Elie Perriot (Bourbonne-les-Bains) au conseil départemental aux côtés duquel il a fait campagne l’an dernier. S’il rejoint la candidate, c’est qu’il aime « les gens qui sont issus de la société civile » et il salue « le courage de la candidate, une femme audacieuse », dit-il. Ce sont notamment les questions liées à la santé qu’il entend défendre durant la campagne. Jocelyne Leblanc-Gabriel a évoqué aussi vendredi soir « son programme », quinze thèmes qu’elle n’a pas développés mais qui sont ses « propositions phares ».
Citons-en quelques-uns : les services publics, la santé, les axes de communication, le tourisme vert, l’emploi et la formation, le développement économique, le sport, la petite enfance, le développement durable… . Jocelyne Leblanc-Gabriel a présenté son équipe dont Nicolas Guenel qui est son responsable de campagne. Les personnes présentes à l’inauguration du local sont invitées à la « rejoindre » et a participé à la campagne. « Réunissons nos forces pour faire avancer notre cher département », plaide Jocelyne Leblanc-Gabriel.
Répondant à une question de JHM Quotidien, réaffirmant être « une femme de droite aux convictions de droite », la candidate réfute avoir pris une part active en Haute-Marne dans la campagne d’Éric Zemmour lors de la présidentielle. « Je n’ai ni adhéré ni milité pour lui », dit-elle. Elle parle de « peaux de banane » mis en travers de son chemin.
C. C.