Les jeunes judokas de Haute-Marne en stage avec Eiji Kikuchi
Soixante-dix judokas, dont plusieurs issus de Haute-Marne, ont participé du lundi 24 avril au mercredi 26 avril à un stage interdépartemental de perfectionnement au centre Ufolep de Giffaumont, organisé par le comité Haute-Marne de judo.
Etaient concernées les catégories benjamins, minimes et cadets. Une cinquantaine de judokas du département était présente, en provenance des clubs du JC Marnaval/Saint-Dizier, du SLO Bettancourt, Chaumont, Chanoy/Rolampont, Chalindrey et Fayl/Billot. Des Aubois ont également participé au stage et, mardi, s’est greffée une bonne vingtaine de judokas de Meudon (Hauts-de-Seine).
« Chercher la précision, la qualité »
Lundi et mardi, les jeunes ont pu bénéficier des précieux conseils d’Eiji Kikuchi, expert japonais du judo en France et ancien entraîneur de l’équipe nationale de Belgique. « Il était déjà venu il y a dix ans. Il est spécialisé dans le travail debout et les techniques de fauchage. Un mando, c’est-à-dire un temps d’échanges, a eu lieu lundi soir et les jeunes lui ont posé beaucoup de questions », a confié Francis Clerget, responsable du stage. Un rassemblement également animé par Mohamed Ouali, Benjamin Gaillard, Damien Petitjean et Sofia Ouali. « C’est un stage avec de la remise à niveau technique avec de l’approfondissement. Il s’agit de sensibiliser les jeunes sur les fondamentaux et chercher la précision, la qualité », a indiqué Francis Clerget. Il s’agissait du dernier stage de la saison, « permettant aussi de préparer la nouvelle ».
Pour une partie des benjamins et des cadets, il s’agissait également d’une bonne préparation avant le championnat Grand Est benjamins qui aura lieu le 20 mai à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), et pour le championnat de France 2e division pour les cadets à Clermont-Ferrand. Une séance en soirée, lundi 24 avril, était ouverte aux enseignants de clubs et aux ceintures noires, mais seulement une quinzaine de judokas y ont participé, dont le président du comité départemental, Thierry Masson.
Les stagiaires ont en profité pour tester également l’activité acrobranche.
De notre correspondant