Nécrologie : André Ménissier
Né à Saint-Dizier le 3 février 1958, André Ménissier était le troisième d’une fratrie de quatre garçons. Après l’école primaire à Jules-Ferry, il est entré en apprentissage chez Garnier et a obtenu son CAP de vendeur. Il a travaillé dans cet établissement pendant dix ans avant d’exercer son métier chez Prévot. Il a ensuite entrepris une carrière de commercial en vêtements et produits sanitaires jusqu’à la retraite en 2020. Il a répondu à ses obligations militaires à Mailly-le-Camp en qualité de barman du foyer.
André Ménissier a rencontré Martine Ballay de Saint-Dizier, au club Léo-Lagrange, et il l’a épousée en 1981.
D’abord installés à Saint-Dizier, ils sont venus habiter Ancerville en 1985. Deux enfants sont venus sceller leur union : Laetitia en 1982 et Caroline en 1987. Gabriel, 8 ans, et Victoire, 4 ans, faisaient le bonheur de ce papy attentif. Il était adhérent avec son épouse à l’Adapeim de Vassincourt. Homme affable, aimant le contact et les bons desserts, se révélant taquin, il appréciait particulièrement les balades matinales du samedi avec sa fille et les réunions de famille ou entre amis. Amateur de pétanque, il suivait aussi les sports à la télévision, en particulier le foot, le rugby et le vélo. Cinéphile averti, il était féru d’histoire et écoutait régulièrement les chansons de Jacques Brel, Jean Ferrat ou Georges Brassens. Il cultivait son jardin mais il avait dû en réduire la surface au fil du temps.
Une maladie insidieuse avait atteint André Ménissier depuis de nombreuses années, masquant les symptômes d’une pathologie qui a peu à peu dégradé sa santé. Il est décédé samedi 15 juillet, après trois semaines d’hospitalisation à Saint-Dizier.
Ses obsèques religieuses ont eu lieu mercredi 19, en l’église de La Noue.
A sa famille, nous présentons nos condoléances.