Héraclès contre-attaque
COUP DE FLASH. L’association Héraclès ne compte pas se faire mettre dehors si facilement. Le 17 août, l’association recevait une lettre de la Ville, propriétaire du bâtiment, lui demandant de quitter sous quelques jours les locaux qu’elle lui prête, avenue du Maréchal de Lattre. Mais Héraclès a décidé de ne pas bouger et, dimanche 11 septembre, cette inscription à la bombe de peinture rouge est apparue sur le mur de l’immeuble voué à la démolition. Un tag dénonçant les pratiques des élus, avec qui l’association n’a pas réussi à se mettre d’accord sur un nouveau lieu d’accueil. Visiblement pas du goût de la Ville, l’inscription a été nettoyée dès ce lundi matin.