Halloween ends : surpasser sa peur… du croque-mitaine !
Réalisé par David Gordon Green, “Halloween ends” signe la bataille finale entre Michael Myers et Laurie Strode. En chemin, une double flopée de sang va laisser, une nouvelle fois, ses marques. En salles depuis le 12 octobre.
Ce troisième et dernier opus, “Halloween ends”, s’ouvre sur une soirée de baby-sitting. Un jeune homme, Corey Cunningham (Rohan Campbell) vient s’occuper d’un petit garçon. Tout semble, au départ, bien se passer, avec une nuit pop-corn et un film d’horreur. Quand l’enfant est invité à aller se coucher, c’est un mauvais tour qu’il joue à cet étudiant… en l’enfermant dans le grenier. Mais, dans la panique, la sortie forcée de Corey amène à l’irréparable… le meurtre involontaire de ce garçon, qui tombe des escaliers et se fracasse la tête. Situation mortifère, qui va s’ouvrir à bien pire encore. Mais, quoi donc ?
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Clou final de cette saga en trois (plus un, une quarantaine d’années plus tôt) volets, “Halloween ends” ferme ainsi la boucle de l’affrontement entre les deux héros, Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) et Michael Myers (James Jude Courtney). Dans son sillon, une macabre relation entre Alyon (Andi Matichak) et Corey amène son lot d’effusion de sang et de passion sulfureuse. Le tout mêlé de vengeance et de passation de pouvoir entre des tueurs nés. Qui aura le fin mot de cet ultime défi et qui en ressortira indemne ? À découvrir !
Halloween : une saga, deux trames :
Sorti, pour la première fois, à la fin des années 1970, la saga Halloween, réalisée par John Carpenter, s’ouvre sur l’histoire du jeune Michael Myers qui, alors qu’il n’est encore qu’un petit garçon, assassine sa grande sœur, le soir du 31 octobre, à Haddonfield. Vingt ans après, il s’échappe de l’asile et fait son retour dans la ville de son enfance pour un nouveau massacre de lycéennes. De ce premier volet s’ensuivront sept autres films, axés sur le caractère familial de la tuerie. Et, quarante ans plus tard, un renouvellement, signé David Gordon Green, reviendra à des sources plus sobres, mais tout autant profondes, sur l’idée du mal incarné et des meurtres frénétiques et barbares.