Les footballeurs de Marnaval se lancent en match de préparation

C’est sans leur entraîneur Antoine Briard que les Marnavalais vont effectuer leur premier match de préparation, ce dimanche 30 juillet (15 h) au stade des aciéries.

Mais si le coach a pris quelques jours de repos jusqu’en milieu de semaine prochaine, il a bien évidemment participé à tout le cycle de préparation qui a commencé depuis près de dix jours, avec de bons signaux envoyés par un groupe plutôt étoffé.

« Les joueurs ont répondu présent sur cette entame d’avant-saison et œuvrent dans une très bonne ambiance. Même si on sait que le “chassé-croisé” va se poursuivre une bonne partie du mois d’août, entre ceux qui partent ou reviennent de vacances. »

Ils seront tout de même 21 éléments à prendre part à ce “test-match” initial, face à une formation joinvilloise, descendue de Régional 3 et qui évoluera en Départemental 1 la saison prochaine.

« On connaît les objectifs de ce genre de rencontre qui doit permettre de prendre des repères et d’effectuer une petite revue d’effectif avec les présents. On va logiquement composer deux équipes, une par mi-temps, avec un gardien qui, lui, effectuera l’intégralité de la partie. »

Et le technicien marnavalais le sait bien : c’est un moment forcément attendu par les joueurs qui, dans cette période toujours un peu ingrate basée sur le physique et l’athlétisation, arrive un peu comme un instant libérateur avec, pour une fois, le jeu comme seule obsession. « C’est de toute façon une période importante par laquelle il est indispensable de passer. Je ne suis pas forcément un “fan” de l’avant-saison et de ses contraintes physiques. Car ce n’est pas toujours agréable de voir ses joueurs souffrir aux séances d’entraînement, mais c’est nécessaire. Surtout dans ce championnat de Régional 1 qui nous attend et monstrueusement relevé ! »

L’occasion aussi pour les nouveaux venus dans le collectif de peaufiner leur intégration, dans une ambiance sereine et dynamique à conserver jusqu’au début de la saison officielle. Mais d’ici là, de l’eau aura coulé sous les ponts

L. G.