Paintball : faites la guerre à coups de peinture
Aurélien Sovet propose du paintball à Chaumont. Sur un hectare de terrain, jusqu’à vingt joueurs peuvent s’affronter, armés d’un lanceur semi-automatique et 500 billes de peinture.
Depuis 6 ans, Aurélien Sovet a repris l’entreprise Cobra Airsoft paintball de Chaumont. « Habitué des lieux, lorsque j’ai appris que l’ancien gérant souhaitait arrêter, j’ai exprimé l’envie de prendre le relais », raconte-t-il. Situé à côté de la société CPE, sur la route de Jonchery, le lieu est ouvert tous les week-ends sur réservation et sur présentation d’un chèque de caution. Son activité phare est le paintball.
« Accessible à partir de 9 ans, il s’agit d’un loisir dans lequel les joueurs éliminent leurs adversaires en les touchant avec des billes de peinture lancées par des lanceurs de paintball. Chaque joueur dispose de trois vies », explique-t-il. Chaque fois qu’il est touché, il doit revenir au point de départ.
Jusqu’à 20 joueurs en simultané
Jusqu’à vingt joueurs peuvent jouer simultanément sur l’hectare de terrain. Ils peuvent profiter des cabanes, des cachettes et des obstacles. Chaque participant est équipé d’un masque, d’un lanceur de paintball et pas moins de 500 billes, le tout fourni par Aurélien.
Avant de commencer, les règles du jeu leur sont rappelées. Une distance réglementaire de 10 m entre deux adversaires doit être respectée par des raisons de sécurité. Le masque ne doit jamais être enlevé au cours d’une partie. Si ce dernier est embué ou rempli de peinture, il doit être nettoyé en dehors du terrain de jeu.
« Plusieurs modes sont proposés à mes clients : attaque-attaque, attaque-défense, capture de drapeau ou encore partie “medic” où un « médecin » peut soigner une fois chaque participant ». La première partie est toujours attaque-attaque.
« Si la majorité des clients viennent de la Haute-Marne, ils viennent également de la région parisienne et lyonnaise, mais aussi d’Italie ou encore de Belgique. Les personnes qui viennent ici ont eu connaissance de l’activité principalement par le bouche-à-oreille », conclut Aurélien Sovet.
Corentin Gouriou