Et vous, vous faites comment côté fournitures scolaires ?
Emilie, maman d’Elias (CM2) et Emma (4e), élèves à Chaumont
« Généralement, nous achetons les fournitures scolaires au début de nos vacances. Cette fois, c’était lors de la seconde semaine d’août. J’y vais avec mes enfants, Elias, qui rentre en CM2, et Emma, élève de 4e. Si pour mon garçon, le plus vite est le mieux, ma fille adore ce moment, où elle choisit les couleurs des affaires. Moi, je fais l’arbitre ! On ne change pas de sac tous les ans, mais on leur fait plaisir avec un agenda, même si cette année, il est offert pour mon fils en CM2. Globalement, il ne nous reste pas grand-chose à acheter par nous-mêmes car l’école fournit une partie des affaires, moyennant une participation des parents. »
Gwenael et Claude Larique, parents de Gabrielle (4e) à Ancerville
« Nous nous sommes fixé un budget de 400 €, tout compris, à la fois pour les fournitures scolaires, les vêtements et les affaires de sport (la danse en l’occurrence). Maintenant, il faut calculer tout ! On a trouvé que les fournitures étaient un peu plus chères, mais on reprend aussi une partie de celles de l’an dernier et l’allocation rentrée est suffisante. Pour la tenue complète de rentrée, avec les chaussures, tout était prêt au début de l’été ; en ce qui concerne les fournitures, nous avons tout terminé il y a deux semaines. »
Bénédicte, maman de Sarah (3e) et Camille (CE1)
« Moi j’ai l’impression que l’année dernière ça ne coûtait pas si cher. Cette année, on en a eu pour plus d’une centaine d’euros juste pour mes affaires », déclare Sarah qui rentre en 3ème. Bénédicte et ses deux filles ont commencé d’acheter les affaires scolaires au début du mois de juillet et ont décidé de finir leurs achats quelques jours avant la rentrée pour profiter des dernières démarques. « On récupère certaines affaires d’une année à l’autre. On a fait le tri des crayons qui marchaient encore pour les réutiliser cette année », confie Bénédicte. Enfin, la famille bénéficie de deux allocations familiales qui permettent aux parents de financer en grande partie ces dépenses, mais également de payer les activités extrascolaires des enfants.