Equitation : inauguration aux Haras du Vieux-Moulin
Dernièrement, les Haras du Vieux-Moulin avaient invité les amateurs équestres à une inauguration de leurs installations.
Totalement repensées depuis deux années de travaux, elles offrent désormais aux propriétaires un espace idéal pour les chevaux dans un cadre verdoyant et sécurisé.
Robin Gitton est le responsable du site, aidé par ses parents investis dans le fonctionnement de la structure. Un tiercé gagnant reconnu par les propriétaires comme par les éleveurs qui confient leurs jeunes chevaux pour un débourrage d’abord, puis à une éducation sportive afin de concourir vers les plus hauts niveaux.
Venus en nombre, les invités ont été conviés à une démonstration de saut sur le terrain sablé de la carrière par trois cavalières.
La visite s’est ensuite poursuivie vers les installations proprement dites, les boxes pouvant accueillir plus d’une trentaine de chevaux, avec sellerie de proximité. L’acquisition d’un manège permet à quatre chevaux de se maintenir en forme en même temps, tant au niveau musculature que du souffle.
Robin a expliqué les objectifs du club : former les couples chevaux-cavaliers en vue d’une future mise en valeur, une pension complète soins compris pour ceux qui ne peuvent être sur place quotidiennement.
Le club est reconnu dans l’Hexagone grâce à sa qualité. Les passionnés qui laissent sans appréhension leurs montures aux Haras viennent de tous horizons. Le club propose régulièrement des stages avec des intervenants extérieurs de hauts niveaux qui apportent incontestablement un plus vers la recherche de l’excellence.
Le terrain a été totalement revu, les parcelles délimitées, et le projet futur serait de créer une allée cavalière évitant ainsi d’emprunter la départementale.
Robin ne pouvait échapper à une démonstration de son art. Avec un jeune cheval fraîchement débourré, il a fait le spectacle, celui où la parfaite entente avec l’animal est essentielle.
Un verre de l’amitié a ensuite rassemblé les propriétaires et les encadrants dans un moment de convivialité.
De notre correspondant Norbert Monzein