Des composteurs installés aux immeubles Tramontane et Mistral
ENVIRONNEMENT. Mercredi 21 juin s’est déroulée l’inauguration de composteurs aux immeubles Tramontane et Mistral, situés dans le quartier du Vert-Bois. Un projet mené par Unis-Cité Champagne-Centre en partenariat avec l’Office public de l’habitat (OPH) et les Ateliers de la Vallée de la Marne. Au-delà de l’aspect pratique et écologique du composteur, la volonté est aussi de créer un lieu de rencontres et d’échanges pour les locataires et les volontaires d’Unis-Cité.
En préambule de l’inauguration, Laurent Cartier, vice-président des AVM, a animé un atelier afin d’expliquer le fonctionnement du composteur aux volontaires d’Unis-Cité. Lors de l’inauguration officielle en présence notamment de la directrice de l’OPH, du directeur des AVM et de Nicolas Suppin, responsable des antennes Champagne-Centre d’Unis-Cité, des bio-seaux ont été distribués aux locataires souhaitant s’investir dans cette démarche et certains restent disponibles auprès d’Unis-Cité au rez-de-chaussée de l’immeuble Tramontane. Ce sont les volontaires et leur coordinatrice d’équipes et de projets Charlène Lataxe qui sont les référents du site de compostage. « Nous nous tenons à la disposition des locataires pour toutes questions sur l’utilisation du composteur », a souligné Charlène Lataxe.
« Valoriser les projets collectifs des locataires »
De son côté, Nathalie Guillemin, chargée de développement social urbain de l’OPH, s’est réjouie de la concrétisation de ce projet. « En répondant favorablement aux habitants des bâtiments Tramontane et Mistral qui ont souhaité se lancer dans la réduction et la valorisation des déchets de cuisine, l’OPH de Saint-Dizier renforce son objectif de valoriser les projets collectifs des locataires en faveur de l’environnement et de la qualité de vie », a-t-elle déclaré. Exemple pourra être pris sur l’expérience du site de compostage de la place Romain-Rolland – qui dessert les bâtiments Achille, Oreste, Hector et Electre – qui ont d’ores et déjà fait la démonstration que « ces espaces collectifs pouvaient aussi être des espaces de partage, de convivialité et pouvaient nourrir d’autres projets par et pour les habitants ».
De notre correspondant Adrien Jeanson