Au Schmilblick, des pots à semis à fabriquer soi-même
Au Schmilblik, le 17 février, un atelier de fabrications personnalisées a attiré le public chaumontais et des alentours. Au programme des trois heures d’activité, il y a eu des mains agiles pour la conception des pots en carton, mais aussi des moments conviviaux.
Après les signes, un art manuel. Au Schmilblik, le 17 février, l’atelier fabrication de pots à semis a attiré près de dix personnes, jeunes et plus âgées, de 14 à 17 heures, le lendemain. Sous l’œil avisé d’Auriane et de Gabriel, organisateurs de l’activité, le public présent s’est attelé, étape par étape, à la conception de pots personnalisés. Et ce, pour diverses utilisations, comme la mise en terre de fleurs et autres plantes. Trois heures pendant lesquelles le travail s’est mêlé à des discussions sympathiques, du début à la fin. Dès lors, on ne peut qu’en redemander… pour une prochaine séance ?
Pots à semis, kézako ?
A partir de carton biodégradable, rapporté de chez soi ou collecté auprès de la Ville de Chaumont, la fabrication de pots à semis se répartit en étapes bien précises. Dans un premier temps, il faut découper chaque carton en bande, de façon qu’il fasse un tour et demi du verre utilisé. Ensuite, de manière à humidifier la matière, il est nécessaire de le tremper quelques secondes dans l’eau.
Dans un troisième, il suffit respectivement d’enrouler le carton autour du verre, de rabattre ce dernier sous la partie inférieure (entièrement) et autour de la partie supérieure, ouverte. Enfin, le carton doit être finement extrait du verre et laissé au séchage, à température ambiante, entre une semaine et un mois, selon la taille du pot. De ça, plus qu’à tester, encore et encore !
De notre correspondant Aldric Warnet