Championnat des Provinces 2023 : les Fédéraux de Langres en effectif réduit
Entre les vacanciers, les non qualifiés et les absents pour diverses raisons, ils ne seront que onze à défendre leurs chances de victoire et de qualification. Ces championnats des Provinces regrouperont, ce samedi 25 février, à partir de 14 h 30, au gymnase Gustave-Blanchard de Langres, les clubs de Reims et de Langres. Cette compétition est qualificative pour les finales nationales, des minimes, cadets et juniors.
Côté minimes filles, Julie Besançenot a déjà son billet en poche, tout comme Marlon Bonenfant. Chez les garçons, en revanche, il va falloir jouer serré. En ce qui concerne Lucie Raillard, Mélodie Koch et Timéo Seguin, ce trio peut très bien obtenir sa qualification quand on les voit s’entraîner et suivre assidûment les séances proposées et enregistrer les conseils éclairés du staff lingon.
Pour les U15 filles, Naomie Roussel n’est qu’à une encablure du Grand prix fédéral. Elle a fait de très gros efforts et ceux-ci paient. Cependant, ce sera un peu plus dur pour Céleste Sikora, mais rien n’est perdu pour elle. Pour les deux seniors filles, Manon Cibic et Priscillia Vautard, elles viseront tout simplement le titre qu’elles peuvent remporter, l’une comme l’autre faisant de bons progrès.
En U17, Thomas Ferron n’aura pas beaucoup de choix : obtenir le titre et battre ses records personnels. Il est en pleine progression et devrait arriver à ses fins, surtout avec le sérieux qu’il affiche et la volonté de bien faire.
Pour Alexis Driout, ce sera la même “punition”, le titre et les records personnels, et ce malgré une bonne énergie, sur sa lancée, Alexis, qui est dans une bonne spirale, fera encore parler de lui.
Le président, Jean-Louis Gudin, est relativement serein. « C’est l’avant-dernière compétition qualificative pour les Fédéraux et les championnats de France, ils sont tous en bonne forme et bien préparés, j’espère que nos minimes et nos cadets vont encore faire briller les couleurs du club. »
L’arbitre de cette compétition sera Pascal Pourchet.
De notre correspondant Gérald Llopis