Commentaires (2)
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Jacky Richard
Posté le mercredi 14 février 2024 - 05:19
C est facile de dire quand on n' a jamais percuté un arbre en bordure de route
xlarnaudiedeferrand@gmail.com LARNAUDIE
Posté le mardi 13 février 2024 - 06:41
Arrêtons de massacrer les beaux paysages de notre département. Difficile de s’abriter derrière l’argument sécurité routière alors que les mêmes ont (probablement à juste titre ) relevé la vitesse limite sur de nombreuses routes du département il y a deux ans . Abattons plutôt les éoliennes !

Belles forêts sur Marne : « La sidération des Haut-Marnais face à cette annonce »

L’association Belles forêts sur Marne, par la voix de sa direction collégiale, interpelle Nicolas Lacroix sur sa décision.

Indiquant tout d’abord que « les premières causes d’accidentalité sont d’ordre comportemental », l’association bragarde rappelle que « selon le code de l’environnement, les alignements d’arbres qui bordent les voies de circulation sont protégés et leur abattage interdit sauf si l’état sanitaire ou mécanique des arbres présente un danger pour la sécurité. »

Et de préciser son propos : « Nous supposons qu’un inventaire rigoureux de l’état des arbres a été fait puisque vous annoncez un nombre très précis d’arbres, soit 4 000. Ou bien ce nombre correspond-il à la totalité des arbres en bord de route, sans aucune distinction ? Nous posons la question et souhaiterions connaître la réponse.

« Population très inquiète »

Nous vous demandons avec précision quelles mesures compensatoires vous mettrez en oeuvre pour compenser la perte d’un arbre qui, chacun ne l’ignore plus, représente un atout en matière d’environnement (ombre et fraîcheur, biodiversité, trame verte, élément paysager…).

Nous demanderons au Département un inventaire précis de ces mesures (lieu, nature de la végétalisation de remplacement) au cas où des arbres devraient être abattus […] Cette levée de boucliers témoigne de la sidération des Haut-Marnais face à cette annonce et surtout, elle montre bien que la population est très inquiète du nouveau visage que prend de plus en plus notre département, s’éloignant de ce qui faisait sa nature profonde : prairies, bosquets, chemins bordés de fleurs des champs et de buissons et bien sûr les forêts.

Toute cette nature sauvage, qui faisait l’attrait de la Haute-Marne, disons de son « attractivité », est en train de disparaître à vue d’oeil. Les Haut-Marnais en sont conscients et vous le crient haut et fort. Preuve qu’ils ne sont pas indifférents à la Nature dans leur département, même s’ils sont également tous des automobilistes. » 

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