Bar-le-Duc
De l’amour à tous les coins de rue. Cela n’a échappé à personne, mais ce mardi 14 février, jour de la Saint-Valentin, sera, comme chaque année, dédié aux amoureux. À cette occasion et dans le cadre de l’événement « Transis damour », l’association Bar-le-Duc RenaissanceS, en partenariat avec la mairie, a organisé une multitude d’activités thématiques. Ainsi, de 9 h 30 à 11 h 30, au centre socioculturel de Marbot, les Barisiens pourront étudier l’amour dans le patrimoine et les arts, puis de 17 h à 21 h, réaliser des œuvres en céramiques, à la galerie le Matou. À 20 h, les célibataires pourront, eux aussi, prendre part à cette journée et faire diverses rencontres lors d’un « speed booking », à la médiathèque Jean-Jeukens. À noter que durant toute la journée, des messages enflammés de cœurs à prendre seront publiés sur la page Facebook Bar-le-Duc RenaissanceS. Plus d’informations sur le site : www.barleduc.fr.
Souriez, vous êtes surveillés. Satisfaite de son utilisation, la Ville de Bar-le-Duc souhaite développer un peu plus son système de vidéoprotection. Comme relaté en conseil municipal, puis relayé ce lundi dans les colonnes de l’Est républicain, aux 25 caméras déjà en place, s’en ajouteront, dans les deux ans à venir, 17 autres. Si ces dernières seront principalement installées dans des quartiers non équipés, dont celui de Marbot-Hinot ou encore celui de la Libération, elles pourront également compléter divers dispositifs de sécurité déjà en place dans d’autres quartiers de la ville.
Des voisines à vent de plus en plus gênantes. Les éoliennes ne cessent de se multiplier dans le paysage vitryat ces dernières années. Selon le journal L’Union, elles seraient plus d’une centaine à être implantées sur la communauté de communes Vitry, Champagne et Der. Bien qu’elles représenteraient pour celle-ci une manne financière conséquente (de l’ordre de 1,9 million d’euros en 2022 soit 400 000 euros de plus qu’en 2021), un problème se pose. Les espaces disponibles, se réduisant comme peau de chagrin, arrivent bientôt à saturation. De plus, submergée par le nombre de dossiers à étudier, la Mission régionale d’autorité environnementale (MRAE) a finalement fait le choix de rendre des avis « courts, centrés sur les enjeux qu’elle considère comme majeurs et dont la bonne prise en compte lui paraît essentielle ». De quoi remettre en question le dispositif d’extension des parcs éoliens sur le territoire.