Bar-le-Duc

LES NOUVELLES DU TRIANGLE

La sécurité des jeunes passe par le dépose-minute. Voilà une réalisation ultra-locale qui peut s’avérer ultra-importante. À compter du 11 mars, et jusqu’au 5 juillet – date des vacances d’été pour les élèves – un dépose-minute sera matérialisé rue Martelot, à Bar-le-Duc, annonce L’Est républicain. La visée du dispositif est de sécuriser les allées et venues des collégiens et lycéens de l’ensemble scolaire Jean-Paul-II. Ce sont trois places, avec un marquage au sol clair, qui ont été mises en place. Dans le même temps, l’arrêt – même temporaire – dans la rue Voltaire, elle aussi attenante à l’établissement, a été formellement interdit. Le principe du dépose-minute est d’une évidente simplicité : le conducteur doit rester au volant ou à proximité immédiate de son véhicule, et ne pas le laisser garé plus de quelques minutes. Idéal, donc, pour déposer ou récupérer les ados à l’école. La demande vient d’ailleurs des parents d’élèves de l’établissement qui accueille 350 collégiens et 210 lycéens. « Il y a un bon consensus sur le dépose-minute,  c’est une bonne idée de faire déposer les enfants rue Martelot », se réjouit Olivier Gonzato, adjoint en charge des travaux à la mairie barisienne, auprès de nos confrères. Bilan de l’expérience dans quatre mois.

Bords 2 Scènes s’engage pour le féminisme. La programmation culturelle de l’établissement public de coopération culturelle Bords 2 Scènes, à Vitry-le-François redouble d’efforts pour se féminiser. Car le constat est là, comme le relève L’Union : dans le monde de la culture, l’égalité des sexes est encore loin d’être atteinte. Alors, la salle vitryate fait le maximum pour gommer les inégalités, en orientant sa programmation vers des thématiques autour du droit des femmes. Une opération d’ampleur nommée “Girl Power” a d’ailleurs débuté, vendredi 8 mars, dans les deux salles de Bords 2 Scènes (Orange bleue et l’espace Simone-Signoret). Dix représentations, dont huit seront animées par des figures féminines, ponctuent ce mois de mars. « Girl Power vient mettre le doigt sur une difficulté que nous rencontrons à avoir suffisamment de femmes sur les plateaux, pas uniquement à Bords 2 Scènes mais de façon générale », reconnaît Robin Fruhinsholz, directeur de Bords 2 Scènes, dans les colonnes de nos confrères. Dans ce combat-là, il n’y a pas de petits efforts.