Bar-le-Duc

LES NOUVELLES DU TRIANGLE

En quête du nouveau duc. Dans le cadre du “festival du Duc”, dont la première édition doit voir le jour du 25 septembre au 1^er octobre prochain, les organisateurs vont couronner un « nouveau duc de Bar », relate L’est républicain. Pour obtenir cette distinction, hautement honorifique, les participants du festival – qui vise les étudiants mais aussi tous les Barisiens et habitants des communes alentours – devront accumuler un maximum de points lors de quiz ou en participant à des animations. Quelles animations ? Des rencontres autour du sport, un salon d’échanges avec des acteurs de la formation tels que la Mission locale ou Pôle emploi, mais aussi des conférences sur l’histoire du duché de Bar et de la cité des ducs. Sans oublier, bien sûr, des soirées musicales dans les bars de la ville. L’un des instigateurs de ce festival, Thibaut Rouyer, membre du Conseil régional des jeunes et cofondateur de l’association étudiante “Venir”, souhaite « montrer que Bar-le-Duc est une ville étudiante dynamique », selon ses dires dans les colonnes de nos confrères. Chiche !

La flamme de retour. Le parcours officiel de la flamme olympique a été dévoilé il y a quelques semaines, et la Cité rose aura les honneurs de son passage, dimanche 30 juin 2024. Pas une première, puisque Vitry-le-François avait déjà vu passer le symbole de l’olympisme le 21 décembre 1967, quelques mois avant les Jeux olympiques d’hiver de Grenoble, en 1968. La Ville proposera plusieurs relayeurs au Comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo), pour qu’ils aient la chance de porter la flamme, explique L’Union. Et il en faudra beaucoup, puisque le parcours vitryat devrait être long de plusieurs kilomètres alors que chaque relayeur ne pourra effectuer plus de 200 mètres. Heureusement, le Cojo donnera aussi une liste de porteurs. Avant Vitry, la flamme olympique aura pris ses quartiers à Saint-Dizier, ville étape le 28 juin 2024.

On les appelle comment les habitants de Brusson, déjà ? C’est pour enfin donner une réponse précise à cette question que le maire, Pascal Tramontana, a sollicité ses administrés, rapporte L’Union. Car voilà, les 184 habitants de la petite ville marnaise étaient jusqu’ici dépourvus de gentilé. « C’est normal et logique que les habitants prennent part à cela. C’est eux qui porteront le nom sélectionné », explique l’édile dans les colonnes de nos confrères. Plusieurs noms sont en lice : Brussenelois, Brussonais, Bruxenellois, Brussonois, Brustionois… Les locaux ont jusqu’au 17 septembre pour retourner en mairie un coupon avec leur choix. Manière de ne pas laisser les vacanciers sur le bord de la route. Et dans le même esprit, Brusson se dotera aussi d’un blason dont quatre modèles réalisés par Jean-François Binon, passionné d’art héraldique, ont été soumis au vote des habitants. Résultats dans quelques semaines.