Le premier Marché du geek se tient à Chalindrey

Durant toute la journée, le premier Marché du geek se déroulera dimanche 9 janvier à Chalindrey. L’objectif est de vendre, d’échanger ou de partager la passion du geek et de la miniature.

Dimanche, de 9 h à 17 h 30, ce salon rassemblera au centre socioculturel de nombreux exposants venus de tout le territoire et des régions limitrophes. L’objectif est de vendre, d’échanger ou de partager leur passion du geek, de la pop culture : figurines, cartes Pokemon, Legos, Playmobils, Meccano, jouets et jeux anciens, mangas, consoles de salon, jeux vidéo, comics, bandes dessinées, jeux de société, figurines, livres de science-fiction, fantasy et fantastique, DVD, films cultes, jeux de cartes, goodies de séries TV actuelles et rétros… Le rendez-vous est à l’initiative de la nouvelle association locale Geek in time, créée à la fin de l’année 2021 : « J’ai cette passion depuis tout petit », explique son président Kevin Royer, « de jouer, collectionner et d’être un grand fan de la culture japonaise, des mangas. » Ce jeune trentenaire reconnaît en souriant « être resté au temps des dessins animés du club Dorothée ».

Avec son épouse, Natanaëlle, vice-présidente de Geek In time, et leurs amis, Florian Minguet, le secrétaire et Benjamin Lepouloux, l’association souhaite démarrer l’année sous les meilleurs auspices : « Nous nous déplaçons souvent en salons à Vesoul, Nancy et on y retrouve des fans comme nous, haut-marnais », assure le quatuor. « Le plus simple était finalement de faire un salon à domicile. »

En dépit du contexte, les organisateurs tiennent bon avec le pass sanitaire à l’entrée, une buvette assise et bien espacée pour l’accueil du public et de « gros stands avec 200 m de linéaire et un centre socioculturel bien rempli ». En accès libre, sur la scène, le visiteur trouvera un espace “rétro game” avec des consoles de jeu ancienne génération tels que Super Nitendo, Séga… « Les geeks sont des gens qui adorent les cultures de l’imaginaire comme la science-fiction ou l’heroïc fantasy ; ce sont des univers beaucoup plus joyeux que notre univers réel et qu’on aime partager. »

De notre correspondante Sylvie Baudot