Pieds de nez
Besoin d’une pause
Depuis le 1er janvier 2024, la police municipale s’est renforcée en termes d’effectifs, notamment pour faire face à une amplitude horaire plus conséquente, comme cela a été rappelé lors de la visite du centre de supervision urbain, vendredi 9 février. Un temps de présence a désormais lieu de 12 h à 14 h, pendant la pause… « euh, comment on dit, mé-ri…dionnale ? », doute Quentin Brière. Mais Rachel Blanc, la première adjointe, est là pour rectifier : « méridienne, monsieur le maire. » « Ouais, la pause déj’, quoi », rebondit l’intéressé. Au moins comme ça, on est sûr de ne pas se tromper.
Génératian non non
Lors de la présentation du programme de Musical’été, lundi 13 février en mairie, la Ville a expliqué avoir créé le concept « Génération nan nan !! », scène regroupant plusieurs artistes des années 1990 et 2000. Une nouveauté que Rachel Blanc a appelée « Non non », rapidement reprise par Tony Vaglio. Mais la première adjointe s’est justifiée : « Je ne parle pas comme une Haut-Marnaise, je sais dire NON, NON ! » Nan mais !
Sans filtre
Mardi 14 février, au Palace, se tenait une nouvelle permanence de quartier. À l’animation, le maire Quentin Brière prêt à écouter les remarques et observations d’un auditoire dense. Malgré l’affluence, cela n’a pas empêché certains riverains d’être francs sur leur attrait pour les perms de quartier – « moi, à la limite, la réunion-là, ne m’intéresse pas » – voire sur leur astuce pour déroger aux règles en vigueur. À l’instar d’un ancien artisan : « Pourquoi les artisans doivent payer pour aller à la déchetterie ? Je [l’ai été] et à chaque fois que j’y allais avec mon véhicule, quand ils me demandaient « c’est de l’artisanat ou du privé ? », je leur disais que c’était du privé sinon j’étais obligé de payer ! » Faute avouée, à moitié pardonnée ?
La proximité, ça rapproche
Durant cette permanence de quartier menée à la Noue, un Bragard était bien décidé à déclarer sa flamme à Franck Fournet, responsable du service Proximité. « Je le connais, c’est un super mec. Il fait son boulot correctement », encense un riverain. Est-ce parce que la Saint-Valentin approchait ? En tout cas, cette déclaration a permis l’espace d’un instant de détendre l’atmosphère.