Zenith de Dijon : la dinguerie Shaka Ponk
On est sûr d’une chose lorsqu’on pénètre dans l’antre de Shaka Ponk. On en prendra plein les yeux. Et les oreilles. Ce fut encore le cas, jeudi 23 novembre au Zenith de Nancy, puis celui de Dijon le lendemain.
C’est annoncé comme la dernière tournée. Elle se prolongera néanmoins jusqu’à fin 2024. Succès phénoménal oblige. Il fallait être malin en effet pour trouver, encore, une place à Nancy ou Dijon jeudi et vendredi. Complet depuis des mois.
Les Shaka Ponk. Frah, Samaha, Mandris, Ion, Steve et CC. Six membres, six magiciens. Et 8 000, peu ou prou, spectateurs à Nancy, comme à Dijon, qui font du bruit comme 20 000.
La galerie photos à Dijon
Le show Shaka, c’est du son, ce sont des images, ce sont des symboles, c’est de l’humanisme. Et des surprises ; une arrivée par les travées, serrage de mains et sourires en prime. Puis quatre morceaux interprétés en acoustique. Puis l’explosion de couleurs et de notes. Une magnifique chorale gospel. Des musiciens qu’on pourrait presque imaginer en transe. Et des sourires, des sourires, des sourires… Sur scène comme dans le public.
La galerie photos à Nancy
Vous voulez conserver la surprise pour votre prochain concert ? Vous avez déjà votre place ? Rassurez-vous, on ne vous a dévoilé que le dixième de ce qui vous attend, ici, là-bas ou ailleurs.
Seule certitude, il ne se trouvait pas un seul spectateur pour émettre la moindre critique, à la sortie des Zenith de Nancy et Dijon. D’ailleurs, difficile de parler lorsqu’on a encore la bouche bée, qu’on est encore sous le choc d’un spectacle qui ne peut qu’étonner et rassembler. Une grosse claque. Toutes générations confondues.
Texte et photos Christophe Bonnefoy