Unis-Cité : la force du partenariat
ASSOCIATION. Mardi 19 septembre s’est tenue la première édition du “Petit-déjeuner des partenaires” organisé par Unis-Cité Champagne Centre sur l’antenne de Saint-Dizier, dans le cadre de sa campagne de recrutement 2023/2024. En tout, 21 personnes de 18 structures représentatives de la ville étaient au rendez-vous.
Les objectifs de ce temps fort étaient de présenter le service civique chez Unis-Cité, rencontrer et retrouver les partenaires et mettre un visage en face de chaque structure, échanger sur le recrutement et ses modalités, sur les projets partenariaux et sur l’accompagnement des volontaires. En amont du temps d’échanges, Nicolas Suppin, responsable des antennes Champagne Centre, est revenu sur la force du partenariat faisant partie de l’ADN d’Unis-Cité.
« Vous jouez un rôle essentiel permettant à nos volontaires de partir en mission… Sans vous, pas de missions ! », a-t-il déclaré d’une voix reconnaissante. Aujourd’hui, 31 structures partenaires œuvrent au côté de l’association. « C’est grâce à cette complémentarité que nous parvenons à permettre aux jeunes à prendre leur envol vers et dans l’emploi », a exprimé Nicolas Suppin.
Les résultats en termes d’employabilité sont positifs au niveau national et sur l’antenne de Saint-Dizier. « 19 jeunes sur 24 ont trouvé une solution – emploi/formation qualifiante/reprise d’études – dans les six mois après leur service civique chez Unis-Cité, soit 79,17 %», a souligné le responsable.
Utile à tous
« L’accompagnement au projet d’avenir, en partenariat avec la Mission locale de Saint-Dizier, est un plus. Cela permet de valoriser le parcours du jeune, de bien prendre en compte les compétences développées et de peaufiner le projet professionnel », a ajouté Charlène Lataxe, la coordinatrice d’équipes et de projets. « En plus d’être utile aux partenaires et aux bénéficiaires des interventions et ateliers, le service civique est utile pour les jeunes eux-mêmes sur différents plans, et notamment pour leur insertion dans la vie citoyenne et professionnelle », a conclu Nicolas Suppin.
De notre correspondant Adrien Jeanson
