Le BNI, un outil pour développer son carnet d’adresses
Economie. Appartenir à un réseau d’affaires, tel que le BNI (Business network international) est une excellente manière de développer son carnet d’adresse grâce aux rencontres entre professionnels organisées chaque semaine. C’est cet objecti que poursuivent les membres du groupe Chaumont-Langres qui avaient convié des invités à une réunion de présentation.
Créé en 1985 aux Etats-Unis en Californie par des professionnels qui souhaitaient étendre leur clientèle, le BNI (Business network international) a, au fil des années, essaimé dans le monde et en premier lieu en France. Ce concept de boost de son business par le biais du bouche-à-oreille et de la recommandation d’affaires qui a été présenté vendredi 22 septembre à la ferme Sainte-Anne à Langres par Stéphane Rouyer directeur régional du BNI et Xavier Grizard, l’homme en charge du déploiement du groupe Chaumont-Langres.
Déjà présent à Saint-Dizier, le groupe lingon-chaumontais a souhaité autour de ses membres convier certaines de leurs relations professionnelles ou amicales afin de les intéresser aux valeurs et au concept du BNI. La réunion organisée en début de matinée a permis à chacun d’en apprendre plus sur la philosophie BNI et sur les particularités de son fonctionnement. Parmi celles-ci, le fait qu’au sein d’un groupe il n’y a pas deux membres qui exercent le même métier, « ceci afin d’éviter la concurrence interne et pour travailler sur le développement de son réseau par recommandations d’autres membres du groupe ».
Les jalons posés, le groupe va désormais se réunir tous les vendredi matin, à Chaumont ou à Langres pour faire fleurir l’entité et surtout faire entrer ses adhérents dans une spirale d’échanges fructueux en matière de recommandations d’affaires.
P. G.
