Meuse
LES NOUVELLES DU TRIANGLE
Les adieux de la préfète. Nommée préfète de la Meuse en août 2020, Pascale Trimbach quitte Bar-le-Duc pour Moulins, où elle doit prendre ses fonctions de préfète de l’Allier dès lundi 6 mars. Elle sera remplacée par Xavier Delarue. Lundi 27 février, elle faisait ses adieux à la Meuse, au cours d’une réception en préfecture. L’occasion de revenir sur un séjour marqué par la crise sanitaire, ses confinements et ses restrictions, mais aussi par Cigéo, de sa déclaration d’utilité publique au dépôt de la demande d’autorisation de sa création.
Du rire, du rire et encore du rire ! Tout a commencé en 2019. En mars, la société Cœur de Scène Productions proposait le premier Week-end du rire à Bar-le-Duc. Porté par Elodie Poux, l’événement avait attiré plus de 1 600 spectateurs. Un succès qui a incité à faire de cette initiative un rendez-vous régulier. Mais la Covid est passée par là et ce n’est que cette année que la deuxième édition, rebaptisée “Rire en Bar”, va pouvoir se tenir. Du 24 au 26 mars, deux comédies, un spectacle jeune public et un one-man-show feront se tordre de rire les spectateurs de la salle Dumas. Dans le détail : “Talons aiguilles et poil aux pattes”, le vendredi 24 mars, à 21 h ; “Rémi, le roi des comptines”, le samedi 25, à 10 h 30 : Tristan Lopin dans “Irréprochable”, le samedi 25, à 21 h ; et “Gonflée à bloc”, le dimanche 26, à 16 h. Renseignements et billetterie sur www.coeurdescene.fr/rire-en-bar.
Les “arrêts-minute” font débat. Sur la place de la Halle, en plein travaux actuellement, onze places de stationnement viennent d’être transformées en “arrêt-minute”. Une décision qui est loin de faire l’unanimité. Si certains commerçants trouvent que cela peut être une bonne idée pour les gens qui ont une course rapide à effectuer, la plupart estiment qu’il y en a trop, et qu’elles sont mal placées. « Devant une boulangerie je peux comprendre, mais devant le Foyer rémois et une boutique de lingerie ça n’a pas de sens ! », lance un commerçant de la place, cité par nos confrères de L’Union. Du côté de la Ville, on se défend en expliquant qu’il s’agit là d’une demande de certains commerçants et, surtout, que c’est une manière de sensibiliser les gens à ne pas rester trop longtemps stationnés, d’autant plus que le chantier en cours supprime une trentaine de places. Mais au vu de la polémique qui enfle, la Ville devrait rapidement revoir sa copie.