Des rencontres et visites enrichissantes pour les lycéens
Le bac ST2S (Sciences et techniques sanitaires et sociales) accueille les élèves souhaitant s’insérer dans les secteurs du social et du paramédical. Au lycée Philippe-Lebon, cette formation est enrichie de visites et de rencontres avec les professionnels. Par exemple les 2 et 7 février.
Les deux organisées au cours de la première quinzaine de février s’inscrivent comme les précédentes dans une démarche d’ouverture et de communication sur le futur potentiel pour les lycéens qui ont fait ce choix. « Elles favorisent leur autonomie, leur esprit d’initiative et le relationnel », ajoute leur professeure, Régine Humbert-Guyot qui multiplie les rendez-vous soit en classe, soit sur le terrain. Celui organisée le 2 février au lycée a donné l’occasion à ses élèves de première et terminale de s’informer sur l’organisation et les missions de la Caisse primaire d’assurance maladie. Et, comme l’a expliqué Sophie Raucher (responsable du pôle clients à la CPAM de Chaumont), elles vont de l’assurance maladie aux actions sanitaires et sociales en passant par l’accompagnement santé. « Un domaine important », ont confirmé Pauline Lamiral et Manon Prévot, les deux référentes de ce pôle qui ont détaillé leur rôle et leur formation après le bac pour accéder à ce poste.
En visite de l’Arit-Abi 52, les élèves qui auront besoin d’arguments pour les épreuves du bac en juin prochain ont découvert l’économie sociale et solidaire. Car derrière la vitrine de la rue Aristide-Briand, l’association est une véritable entreprise qui permet à des personnes de trouver ou retrouver des pistes d’insertion dans la vie active. Et utile puisque son fonds de commerce est la récupération, le traitement et la mise en valeur de produit des textiles, chaussures, livres et autres objets qui retrouvent ainsi une deuxième vie.
Les commentaires de Gwenaelle, qui assure l’encadrement de la trentaine de salariés et ceux de Stéphanie Guillemin, qui l’assiste, ont permis de mettre en face de la vingtaine de questions préparées, autant de réponses. Et même davantage. Dans son rôle de guide, Delphine Hossann a confirmé que l’ambiance et les conditions de travail lui ont redonné confiance, l’envie de rebondir. D’où pour les élèves des questions sur les raisons d’un besoin de réinsertion auxquelles les guides de l’Arit ont répondu. Et cette idée : les lycéens ont décidé d’organiser une collecte d’objets pour apporter leur contribution aux opérations de recyclage.
Le bac ST2S (Sciences et techniques sanitaires et sociales) accueille les élèves souhaitant s’insérer dans les secteurs du social et du paramédical. Au lycée Philippe-Lebon, cette formation est enrichie de visites et de rencontres avec les professionnels. Par exemple les 2 et 7 février. Les deux organisées au cours de la première quinzaine de février s’inscrivent comme les précédentes dans une démarche d’ouverture et de communication sur le futur potentiel pour les lycéens qui ont fait ce choix. « Elles favorisent leur autonomie, leur esprit d’initiative et le relationnel », ajoute leur professeure, Régine Humbert-Guyot qui multiplie les rendez-vous soit en classe, soit sur le terrain. Celui organisée le 2 février au lycée a donné l’occasion à ses élèves de première et terminale de s’informer sur l’organisation et les missions de la Caisse primaire d’assurance maladie. Et, comme l’a expliqué Sophie Raucher (responsable du pôle clients à la CPAM de Chaumont), elles vont de l’assurance maladie aux actions sanitaires et sociales en passant par l’accompagnement santé. « Un domaine important », ont confirmé Pauline Lamiral et Manon Prévot, les deux référentes de ce pôle qui ont détaillé leur rôle et leur formation après le bac pour accéder à ce poste.
En visite de l’Arit-Abi 52, les élèves qui auront besoin d’arguments pour les épreuves du bac en juin prochain ont découvert l’économie sociale et solidaire. Car derrière la vitrine de la rue Aristide-Briand, l’association est une véritable entreprise qui permet à des personnes de trouver ou retrouver des pistes d’insertion dans la vie active. Et utile puisque son fonds de commerce est la récupération, le traitement et la mise en valeur de produit des textiles, chaussures, livres et autres objets qui retrouvent ainsi une deuxième vie.
Les commentaires de Gwenaelle, qui assure l’encadrement de la trentaine de salariés et ceux de Stéphanie Guillemin, qui l’assiste, ont permis de mettre en face de la vingtaine de questions préparées, autant de réponses. Et même davantage. Dans son rôle de guide, Delphine Hossann a confirmé que l’ambiance et les conditions de travail lui ont redonné confiance, l’envie de rebondir. D’où pour les élèves des questions sur les raisons d’un besoin de réinsertion auxquelles les guides de l’Arit ont répondu. Et cette idée : les lycéens ont décidé d’organiser une collecte d’objets pour apporter leur contribution aux opérations de recyclage.