Héraclès se fait voir
« On ne veut pas crier, on ne veut pas hurler, on est juste triste. » L’association Héraclès, en conflit avec la Ville (notre édition du 31 août), était représentée par une dizaine de membres vendredi, à côté du site de « Muse ». L’association et son président Fabrice Douheret avaient un double objectif : d’une part, plaider sa cause publiquement. D’autre part, revenir sur les déclarations de Quentin Brière à leur sujet (le jhm q du 8 septembre), qui a déclaré qu’ « Héraclès avait refusé (un local) au Vert-Bois car ce n’est pas leur clientèle », les accusant de « squatter » leur local. « Il s’agit d’une association, on ne parle pas de clients mais d’adhérents. Et les gens du Vert-Bois sont adhérents chez nous, au contraire ! Enfin quand on s’engage 35 ans quelque part et qu’on nous accuse d’être squatteurs, c’est dégueulasse ! », peste le président.