Collège : une rentrée riche en évènements
La rentrée au collège Emilie-Carles s’est effectuée sous les meilleurs auspices. Une nouvelle principale en préside la destinée, Armelle Bellanguez. D’origine lilloise, la cheffe d’établissement a fait ses premières armes comme professeure documentaliste aux collèges de Chaumont et de Doulaincourt. Puis elle a exercé comme principale adjointe à la cité scolaire Georges-de-la-Tour à Metz. Elle remplace Chantal Brard qui exerce désormais sous les cieux de Dordogne. Elle s’est déclarée agréablement surprise par l’établissement. « J’ai découvert une bonne équipe d’enseignants et de personnels gravitant autour de l’administration, ainsi qu’un équipement numérique haut de gamme, des locaux spacieux. » Ses objectifs sont ambitieux : « Je trouve la dynamique impulsée très intéressante et bien sûr je vais encourager professeurs et parents dans les projets déjà engagés, comme l’atelier théâtre, Erasmus et ses échanges internationaux, les JSP (jeunes sapeurs-pompiers), le canoë-kayak. Un nouveau challenge s’offre à moi, mettre en place dès la 6e une classe bilangue anglais-allemand ». Sa feuille de route est très claire : « Je veux donner l’envie aux élèves de venir au collège ». Le 2 septembre, les 6e ont reçu la visite de personnalités. Hélène Sigot-Lemoine, vice-présidente du Conseil départemental en charge de l’éducation comme chaque année, a remis aux collégiens débutants un petit cadeau. Elle a offert à chacun une pochette en papier recyclable fabriquée en France contenant un crayon de papier astucieux. Doté à l’une de ses extrémités d’un réservoir de graines (thym, tournesol, marguerite), il suffira de le planter lorsque le crayon arrivera en fin de vie. Dans la même optique, les élèves travailleront sur les économies d’énergie, tout particulièrement la chaleur, dans le cadre du challenge Cubes auquel le collège est inscrit. L’effectif de l’établissement est relativement stable avec 310 élèves dont 75 en 6e, 96 en 5e, 66 en 6e et 73 en 3e. Chaque poste d’enseignant étant pourvu, il ne reste plus qu’à travailler.