Quand le rêve devient cauchemar…
Signé Barthélemy Grossman, Arthur : la malédiction suit le voyage d’un groupe d’amis, parti à la découverte d’un lieu de tournage, celui du film Arthur et les Minimoys. Ce qui est alors un rêve va rapidement se transformer en un pire cauchemar. En salle depuis le 29 juin.
D’une lumière dans les yeux. Depuis sa tendre enfance, un jeune homme, Alex, est fan de l’univers d’Arthur et les Minimoys. Dans son modeste appartement, il a tout : des peluches, des figurines, des livres d’images, des affiches du film, des goodies et des DVDs. Alors, pour célébrer dignement son anniversaire, ses amis décident de lui faire découvrir la maison du long-métrage… située dans le Connecticut. Le voyage commence, tout se passe bien… jusqu’à de terribles et étranges rencontres qui vont les interroger sur leur séjour. Et ce, même s’ils continuent leur chemin en direction du lieu convoité, où ils arrivent finalement. Ont-ils fait le bon choix ? Va-t-il leur arriver malheur ?
Descente aux enfers !
Mêlant divers univers horrifiques, à commencer par “vendredi 13” et “Shining” (second film clairement cité), Barthélemy Grossman détruit un monde jusqu’ici enfantin et gentillet. D’une visite d’un endroit de rêve, c’est une virée en enfer que le séjour du groupe de jeunes amis va poser. Il y aura du sang, des têtes coupées, des corps retrouvés, d’étranges apparitions, sinon des disparitions.
Pire encore, des cauchemars, digne clin d’œil au slasher Freddy Krueger (“A Nightmare on Elm Street”), vont venir semer le trouble dans le voyage idyllique de nos héros. Maxime (Vadim Agid), Mathilde (Lola Andreoni), Alex (Mathieu Berger), Sam (Thalia Benson), Dominique (Marceau Ebersolt), Douglas (Mikaël Halimi) et Jean (Yann Mendy), pour tous les citer. Dès lors, on se demande s’ils vont en sortir indemnes. Suspense donc !
Aldric Warnet
