Le boro ou l’art de la reprise
En japonais, le boro signifie guenille et la population pauvre du nord du Japon récupérait des textiles usagés, les rapiéçait formant ainsi un patchwork à bon compte. Les pièces de tissus étaient alors fixées avec des points, appelés point de Sashiko.
Jean-Michel Douche, spécialiste en la matière, vêtu d’une veste réalisée avec cette technique, a présenté ses réalisations et retracé toute l’histoire de cette époque principalement fixée en Orient. Une vingtaine de personnes ont ensuite réalisé leur premier boro à la main et pour une fois, les machines à coudre étaient restées à la maison.