Contravention poétique
Du 12 au 28 mars, à l’occasion du Printemps des poètes, que les automobilistes ne s’étonnent pas de voir fleurir sur leur pare-brise de fausses contraventions : ils pourront y lire des phrases poétiques. C’est juste un clin d’œil de la médiathèque, à l’initiative d’Hélène, pour rappeler l’importance de la lecture et de la poésie dans un monde où la sérénité manque cruellement à certains. Un exemple de contravention : « La poésie est une plante libre, elle croît là où on ne la sème pas. » Gustave Flaubert, lettre à Louise Collet.