Les échos de la Haute-Marne
Parrainages : deux signatures pour… Nicolas Lacroix
Ce mardi 1er mars, nouvelle -et avant dernière- publication du conseil constitutionnel concernant le parrainage des candidats à l’élection présidentielle. Nous serons fixés vendredi 4 mars où l’on saura qui sera présent sur la ligne de départ. Au niveau national, l’info de ce mardi soir est que Marine Le Pen et Eric Zemmour ont tous les deux franchi le cap des 500 signatures. Ils seront donc candidats. Quoi de neuf du côté des élus de Haute-Marne ? Ils sont désormais 198 à avoir donné leur parrainage à un candidat. Alors qu’il a fait la course en tête depuis début février, François Asselineau se fait coiffer sur le poteau. Le patron de l’UPR a 29 parrainages en Haute-Marne mais il est désormais devancé par Valérie Pécresse (LR) à égalité avec Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) avec 35 « signatures » chacun. Il n’est pas candidat à notre connaissance mais le président du Conseil départemental, Nicolas Lacroix, obtient deux parrainages, celui de Didier Petit, maire de Consigny et celui de Laurent Hasselberger, maire de Roches-Bettaincourt.
En Haute-Marne, pas moins de chasse, plus de chasse
Dans son discours d’aurevoir, le préfet Joseph Zimet a donc évoqué des sujets lui tenant à cœur et sur lesquels il s‘est investi. C’est le cas des difficultés de la forêt qui sont plurielles. « La surpopulation de gibier est un problème local, dont les solutions sont à notre portée. Il ne s’agit pas, soyons clairs, d’incriminer nos chasseurs. Nous avons besoin des chasseurs et la chasse fait partie de l’identité de la Haute-Marne. Les « toutologues », les spécialistes de tout et donc de rien, ont déjà pris d’assaut les plateaux de télévision depuis le malheureux accident dans le Cantal, pour proposer la suppression de la chasse les week-ends et les jours fériés… Ce serait pour nous une catastrophe, car nous devons en réalité chasser davantage », a dit le préfet. Avant un petit clin d’œil à François Jehlé (présent) au sujet de l’agrainage : « il faudra accepter un peu moins de maïs dans la forêt… Un grain de folie dans vos cuisines et moins de grains de maïs dans les massifs », lui a-t-il glissé.