Les ambassadrices de proximité de la CCI 55-52 pour le commerce
Le nouveau président de la CCI 55-52, Richard Papazoglou, veut décidément que la Chambre soit toujours plus proche des préoccupations du terrain.
Pour qui se souvient du discours de candidature de Jean-Paul Hasseler lorsqu’il sollicita le renouvellement de son mandat à la tête de la CCI 55-52, il avait déjà été beaucoup question de juxtaposer le mot proximité à ceux de Chambre de Commerce. Son successeur ne le renie point, bien au contraire : Richard Papazoglou a souhaité que la Chambre s’investisse toujours plus dans le territoire, au plus près de ses acteurs économiques. Des binômes ont été créés dans ce dessein composés d’un(e) élu(e) et d’un(e) permanent(e) de la Chambre. Ces binômes sont investis de plusieurs missions : un programme ambitieux dont on peut légitimement penser que Jeanne Barbier (Optic 2000 à Saint-Dizier) et Mickaëla Hamdam (Grain de Malice à Chaumont et qui travaillera aussi pour Langres) sauront s’acquitter.
Pour elles, il s’agira notamment de développer des synergies et travailler de concert avec les territoires, notamment les communes, agglos ou communautés de communes.
Les deux femmes, dynamiques, expérimentées, dévouées, représentent la CCI dans les manifestations en lien avec les problématiques de commerce, la transformation urbaine (Cœur de Ville par exemple). Elles travailleront en étroite relation avec les managers de commerce.
Elles se veulent aussi forces de proposition pour accompagner les transformations dans les commerces. Elles seront de bons conseils pour qui veut s’engager vers la transition digitale, tant pour investir dans du matériel que pour se former.
Elles vont aussi sans doute proposer des actions dans le cadre des journées nationales du commerce de proximité, mais adaptées, une fois de plus aux réalités de notre terrain.
Jeanne Barbier et Mickaëla Hamdam participeront aux actions consulaires locales, elles auront aussi un rôle de veille sur la situation du commerce en Haute-Marne.
Les deux élus connaissent bien chacune leur territoire de référence. Elles ont l’une comme l’autre l’évidente volonté de faire bouger les choses, pour aussi favoriser l’attractivité de notre territoire.